Présentation

Dimanche 30 juillet 7 30 /07 /Juil 15:22

A mon réveil, jeudi matin, j'ai eu le plaisir de découvrir un mail de mes propriétaires. Ils m'y informaient que nous pourrions nous voir le lendemain. Je fus bien sûre très heureuse de cette nouvelle, d'autant plus qu'il était prévu que l'on sorte ensemble pour la première fois.

Vendredi venu, je me fis toute belle pour voir mes futurs Maîtres. Lorsqu'ils arrivèrent en voiture, R. me montra par la fenêtre, en pleine rue, la cravache courte qui devait servir à me punir pour mes fautes d'orthographe. J'étais très heureuse de les voir et m'empressais de les rejoindre. Quelques instants ensuite, nous avons manqué de justesse de finir sous un bus qui roulait trop vite. Dire que j'ai failli ne pas passer cette journée magnifique avec mes propriétaires... cela aurait vraiment été très dommage.

Nous sommes donc arrivés peu de temps après dans la rue où se trouvait le club SM où nous nous rendions. Je ne connaissais pas l'endroit, ils en ont donc profité pour me faire croire que nous allions devoir passer devant le commissariat, chose qui m'aurait vraiment mise mal à l'aise vu mon accoutrement.

J'aperçus très vite une petite porte discrète qui portait le nom du lieu où nous nous apprêtions à rentrer. Une fois à l'intérieur,  nous avons descendu un escalier afin d'arriver dans une pièce feutrée où se trouvaient quelques personnes, notamment une serveuse très dévêtue, tout comme la clientèle soumise.

Peu de temps après, I. et R. me conduisirent dans une pièce à l'étage où j'avais remarqué une sorte de décoration étrange au plafond... Ils me présentèrent une chaise disproportionnée qu'ils avaient placée devant leurs propres sièges. Je supposai donc que je devais m'y asseoir mais R. m'avertit que je devais y mettre mes genoux, ce que je fis sans me faire prier. Pour information, R. m'a appris depuis qu'il s'agissait d'un prie dieux. J'étais donc dos à eux et j'attendais sagement qu'ils viennent me donner les quarante-cinq coups de cravache qu'ils devaient m'administrer pour me punir des fautes d'orthographe que j'avais faites lors de la rédaction de mon journal. Le temps de discuter un instant, R. me serra légèrement le cou avec les lanières d'un martinet, ce fut léger et rapide mais très agréable, probablement parce que j'aime avoir l'impression que mes propriétaires peuvent m'étrangler à tout moment, ce qui me fait sentir encore un peu plus mon appartenance à eux. Ils me demandèrent ensuite de compter chacun des coups qu'ils me donnaient mais j'avais tendance à m'y perdre, ce qui me valut quelques coups supplémentaires. A dire vrai, c'était extrêmement douloureux mais je n'aurais cédée ma place pour rien au monde car j'y trouvais quelque part un certain plaisir et aussi une vraie fierté.

Lorsque ma punition fut terminée, R. me permit de me reposer aux pieds de ma futur Maîtresse. J'avais alors une vu de premier choix sur les chaussures de mes propriétaires, plus particulièrement sur celles de ma future Maîtresse. Bizarrement, moi qui suis d'ordinaire assez obsédée par l'hygiène, l'idée de lui lécher ses chaussures à talons me traversa longuement l'esprit mais je n'en fis rien. R. m'apporta alors un bol d'eau que je m'empressais de boire telle une petite chienne assoiffée. Après cela, mon futur Maître m'ordonna de le sucer, ce que je fis bien sûr avec plaisir.

Rapidement, I. et R. me demandèrent de me déshabiller devant eux au beau milieu de la pièce. Je n'avais alors plus que mon string et mes chaussures. Ils m'attachèrent alors telle une esclave à la "décoration de plafond" que j'avais aperçue en arrivant. Une fois les mains liées à cet objet, ils le remontèrent grâce à un mécanisme avec manivelle pour que mon corps soit totalement tendu. J'étais alors nue devant mes propriétaires mais aussi devant des inconnus qui nous regardaient. Cette présence me mettait relativement mal à l'aise car je savais que l'on me jugeait et n'ayant pas vraiment d'autres points de comparaisons que les exploits de Salomé, autant dire qu'il n'était pas simple pour moi d'être à la hauteur dans cette situation. A titre d'information, je faisais référence au livre soumise  dans lequel figure une partie des correspondances entre une femme soumise et son Maître. C'est d'ailleurs grandement grâce cette oeuvre que mes propriétaires m'avaient conseillée de lire que mes désirs SM se sont éveillés. Pour en revenir à mon récit, la situation était très nouvelle pour moi c'està-dire que même si ce n'était pas la première fois que mes propriétaires me battaient , ils n'avaient pas encore atteint un stade aussi difficile pour moi. En effet, chaque coup devenait à la frontière du supportable voire même la dépassait. Je n'écris pas cela pour me plaindre car je suis extrêmement heureuse que I. et R. m'aient fait vivre cela et je les en remercie encore. Je veux simplement dire que même si c'était physiquement très douloureux, j'y ai quand même trouvé le plaisir de me surpasser et j'ai hâte de pouvoir revivre cela avec mes propriétaires, qui seront d'ailleurs, tout du moins je l'espère, mes Maîtres officiels à ce moment là.

R. m'offrit alors le choix de poursuivre ou d'arrêter. A dire vrai je n'aurais jamais osé arrêter car je sais parfaitement que je l'aurai regretté ensuite, non pas parce qu'ils me l'auraient reproché mais parce que je m'en serais voulu de ne pas en avoir profité. C'est vrai que pour moi ces moments sont rares, exceptionnels et  très précieux alors je ne souhaite pas les gâcher. Toujours est-il que lorsque cela devenait très dur, R. me fit sentir son sexe tendu contre mes fesses et cela m'a énormément encouragée à résister encore un peu plus. Je suppose qu'il y avait bien sûr le désir d'en finir dignement avant de passer à des jeux sexuels mais aussi la satisfaction et le plaisir de sentir R. excité de me voir ainsi.

Mes maîtres eurent cependant rapidement la complaisance ou bien simplement le désir d'arrêter, à vrai dire je ne sais pas vraiment laquelle de mes propositions est exacte mais cela me mena à retourner aux pieds de ma Maîtresse. J'avais les genoux à terre et la poitrine contre ces derniers lorsqu'ils m'apportèrent de nouveau mon bol rempli d'eau. Je commençais à laper car j'avais vraiment soif après ce dur épisode les mains liées en hauteur. Je commençai donc à boire lorsque R. enchaîna plusieurs coups de martinet contre mon dos. Cela commençait à être vraiment éprouvant... nous passâmes cependant rapidement dans la petite chambre contigu à cette salle de "torture".

Arrivés dans cette petite pièce, mes futurs Maîtres me traitèrent vraiment comme la dernière des chiennes, m'occupant constamment la bouche entre le sexe de l'un et de l'autre. R. m'offrit cependant une leçon en léchant lui-même I. Le spectacle fut vraiment très joli à regarder, d'autant plus que ma propriétaire est très belle sous la langue de son mari. Enfin après nous être gentiment amusés et quelques coups plus tard, j'eus enfin le droit au sexe de mon futur Maître... il me demanda alors de lui présenter mes fesses, ce que je fis de mon mieux en m'assurant de cambrer convenablement mes reins. C'est alors que sans même me préparer un instant, il me sodomisa sans ménagement. Quelques petites plaintes m'échappèrent et ma future Maîtresse me menaça de me donner des raisons pour cela. Lorsqu'elle me menaça, je fis d'ailleurs l'erreur de dire "non" tant je n'en pouvais plus et pourtant j'acceptai très rapidement sa décision car mon refus fut encore un moyen supplémentaire de donner à ma propriétaire l'envie de me corriger Je cessais donc de geindre et je me mis à me regarder dans la glace en face de moi. J'appréciais vraiment le spectacle, d'autant plus que j'avais dans la bouche la cravache qui m'avait punie auparavant. Il faut tout de même noter que R. avait commencé par dire qu'il ne ferait que me sodomiser... en fait j'en étais déjà très contente mais finalement, il eu la bonté de me baiser par le dernier qu'I. avait tenté de doigté lorsque R. me sodomisait. Mais comme j'y prenais manifestement trop de plaisir, quelques coups furent encore de rigueur. Pour finir ce délicieux épisode, j'eus le plaisir de voir ma future Maîtresse jouer avec le sexe de R. quelques instants. Je me rends compte que les regarder se caresser ainsi est vraiment quelque chose qui me plaît, m'intrigue et m'excite. Cependant, avant que I. n'aille caresser le sexe de son mari avec sa bouche, R. eu la judicieuse idée de me mettre à cette activité afin d'épargner à ma propriétaire tout éventuel désagrément lié à l'odeur du préservatif. Après tout c'est bien normal qu'une chienne rende les jeux de sa future Maîtresse les plus agréables possibles et je suis toujours très heureuse lorsque l'un ou l'autre de mes propriétaires me remplit la bouche. Toujours est-il que ce jour là, mon futur Maître m'a fait l'honneur de m'offrir son sperme un petit peu partout sur le visage et autour de la bouche,  cela devant pas mal de curieux qui nous regardaient à travers la glace... dire que je m'y étais admirée à quatre pattes avec la cravache de I. et R. dans la bouche sans même remarquer leur présence.

Pour clore le récit de cette rencontre, je tiens avant toute chose à remercier mes propriétaires I. et R. de me l'avoir fait vivre. Cette dernière aventure m'a confortée dans mes choix... celui de leur être exclusive et totalement offerte, ainsi que dans mon désir de leur être soumise pour le plus longtemps possible. Je suis aussi intimement persuadée que I. et R. pourront être d'excellents Maîtres pour moi, à l'image de ce qu'ils ont été lors de cette dernière rencontre qui je l'espère ne sera pas la dernière. Pourvu qu'un jour je devienne pour eux une parfaite soumise à la hauteur de leurs désirs.

Leur esclave et chienne, E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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