Présentation

Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 22:50

Environ deux semaines après ma première rencontre avec I., mes propriétaires m'invitèrent de nouveau à partager un charmant cinq à sept avec eux. J'attendais ce jour avec la plus grande impatience car je savais qu'enfin mes propriétaires me feraient découvrir la cravache. Il était donc prévu que je vive enfin ce fantasme qui avait déjà longuement émoustillé mes sens lorsque je me caressais.

J'étais à la fois heureuse et inquiète car même si je dois reconnaître que cela m'excitait énormément, il n'en est pas moins que j'avais très peur de la douleur que cela pouvait représenter. Je craignais vraiment de ne pas être à la hauteur et de décevoir I. et R. en ne supportant pas les coups.

Ce jour là, je me suis encore présentée chez mes propriétaires avec les yeux bandés, comme nous l'avions convenu. R. m'invita à entrer et m'installa confortablement dans un fauteuil du salon. Il m'avaient ordonné de ne pas bouger et de les attendre, ce que je fis avec excitation et inquiétude.

C'est alors que ma douce propriétaire est venue me rejoindre... je lui ai avoué que j'espérais pouvoir la caresser et l'embrasser longuement mais c'est par la négative qu'I. répondu à ma demande. En effet, ils avaient décidé d'un programme plutôt incompatible avec ce désir mais qui est bien loin d'avoir manqué de me plaire.

Mes propriétaires finirent assez rapidement par me mettre debout au beau milieu du salon, me demandant encore de ne pas bouger et de me laisser faire. J'avais du mal à ne pas gigoter car ils était en train de retirer ma robe...  Ne sachant pas quels sous-vêtements choisir pour l'occasion, j'avais opté pour ne pas en mettre. C'est ainsi que je me suis retrouvée totalement nue devant eux. J'étais assez gênée mais mon bandeau me plongeait dans le noir, ce qui m'épargnait d'éventuels regards ou tout autre comportement d'I. et R. qui auraient pu me mettre mal à l'aise.

Je ne sais pas si cela les amusait de me savoir ainsi gênée mais ils prirent tout leur temps avant de revenir s'occuper de moi pour me conduire à nouveau dans le fauteuil, mais cette fois pour que j'y pose mes genoux afin de leur offrir mes fesses. Je me sentais plutôt bien dans cette position indécente et je m'efforçais d'offrir à mes propriétaires un spectacle qui puisse leur plaire, me cambrant donc le plus possible.

Je sentais leur main me frôler doucement, vérifier brièvement mon état d'excitation qui on peut le dire, était déjà très avancé. J'entendais mes propriétaires discuter et I. demander à R. quelle couleur il préférait pour les cordes. Puisqu'il restait sans réponse, je me permis de proposer à I. d'opter pour des liens noirs. Je n'avais évidemment pas mon avis à donner et le fameux coloris ne me fut donc pas divulgué.

I. commença alors une délicieuse danse des cordes sur mon corps. J'adorais la manière dont elle les faisait glisser contre moi, les quelques doigts léger me caressaient parfois au passage. J'étais comme une poupée avec laquelle on jouait... d'ailleurs R. ne manquait d'introduire ses doigts dans ma bouche et finit même par me placer un bâillon dans la bouche. Cela me faisait vraiment mal mais il était absolument hors de question que je leur fasse signe d'arrêter. J'avais mal certes, mais bien trop peu pour risquer de les décevoir. Toujours est-il que je sentais beaucoup de salive dans ma bouche mais je serais incapable de dire si oui ou non je bavais. Quoi qu'il en soit, mes propriétaires ne voulaient pas que je mouille leur beau parquet donc ils placèrent un petit récipient par terre, sous ma bouche.

J'étais vraiment aux anges avec I. qui jouaient avec les cordes, j'étais frustrée de ne pas voir le résultat car j'avais l'impression que le résultat était vraiment joli. D'ailleurs, ma propriétaire m'avait rassuré en me disant que je le verrai et pourtant, après avoir fini de jouer dans le salon, j'avais toujours mon bandeau qu'I. défaisait mon bondage. Elle ne m'avait quand même pas menti, j'ai finalement vu le résultat ici même, sur mon journal. En effet, lorsque mes propriétaires m'ont donné l'adresse de mon journal, j'ai eu un choc en découvrant des photographies de moi, d'autant plus parce que je ne m'étais même pas aperçue que j'avais joué au modèle avec eux. En tout cas, j'avais raison, ma propriétaire m'avait très joliment décorée ce jour là.

Pour en revenir à nos jeux, après m'avoir massacré la bouche avec cet odieux bâillon, ils décidèrent de me l'enlever afin d'entendre mes plaintes au moment où ils me cravacheraient les fesses. Par la même occasion, R. s'est largement servi de ma bouche, content de voir que j'avais la bouche trempée de salive grâce au bâillon, à tel point que j'ai parait-il remplit le récipient qu'ils avaient posé.

Lorsqu'ils m'ont retiré le bâillon, il m'était devenu très douloureux de fermer la bouche et pourtant j'insistait alors que R. voulait faire place à son sexe. En fait j'étais bien heureuse de le sucer d'autant plus que c'était un bon compromis pour que ma bouche s'apaise. Cependant, lorsqu'il me baisait littéralement la bouche, j'avais presque des difficultés pour respirer et ils m'ordonnèrent donc de faire silence, chose qui était quand même bien loin d'être évidente.

Bien sûre, la première découverte de ma journée fut le bondage par les soin de ma future Maîtresse. J'ai vraiment beaucoup apprécié car je me sentais vraiment objet, livrée à eux. En plus, c'était très doux et agréable de se faire ainsi bien traitée par mes propriétaires.

Me faire cravacher fut une autre affaire. Au début, j'ai été assez surprise et rassurée de voir qu'en fait, cela ne faisait pas si mal que ce que j'aurais pu imaginer. Mais rapidement, les gentils coups furent plus rapide et plus durs. Je m'efforçais de me tenir correctement mais rien n'y faisait, je ne pouvais m'empêcher de gesticuler, ce qui m'a vallut un accidentel coup sur le sexe dont je me serais volontiers passée. Malgré tout, j'étais très heureuse d'être là, de découvrir enfin ces sensations à la fois très douloureuses et très douces. Je me sentais bien et étais vraiment heureuse d'être leur chienne. J'ai de toutes façons beaucoup de chances d'avoir de si gentils propriétaires qui s'occupent si bien de moi. En même temps ils ont une sacrée tâche, tout comme moi, pour qu'un jour je devienne leur soumise idéale.

Au bout d'un moment, je crois que mes Maîtres ont eu envie de moi et ont donc décidé d'aller dans leur chambre. J'étais bien sûre très contente mais un peu pincée car je me disais à ce moment là que je n'aurais jamais eu le plaisir d'admirer mon premier bondage.

Une fois dans la chambre, j'ai bien vite oublié ce genre de considération entre les cuisses de mes Maîtres. Chacun leur tour, je me suis occupée de jouer avec leur sexe en étant franchement malmenée. Par moment, je m'occupais de lécher I. en même temps que R. mais il est vrai que ce n'était pas chose aisée avec le bandeau. Cependant j'aime énormément partager le plaisir de lécher ma future Maîtresse avec mon propriétaire.

Moi qui fait d'ailleurs un petit blocage à l'idée de me pénétrer seule avec mes doigts, j'ai aussi beaucoup de mal à pénétrer ainsi ma propriétaire. J'en ai envie mais j'ai très peur de lui faire mal, probablement à cause de l'indélicatesse de certains hommes que je n'aurais jamais du laisser me toucher. Toujours est-il que R. m'a invité à pénétrer I. en collant mon doigt au sien, ce qui m'a énormément plu et beaucoup rassurée. C'est curieux mais seule, je ne m'en sens pas encore capable et j'espère que cela me passera vite car s'il y a une chose que j'aime par dessus tout lorsque je suis avec mes Maîtres, c'est voir leur rayonnant de plaisir.

J'étais toujours occupée à lécher le sexe de ma propriétaire lorsque R. me pénétra en levrette. Vu la vigueur qu'il mettait me mettre en miette, il n'était vraiment pas aisé pour moi de continuer à m'occuper d'I., surtout lorsque mon propriétaire décidé de me sodomiser. C'était la toute première fois qu'il me pénétrait ainsi et il le fit avec une telle douceur que je n'ai éprouvé que du plaisir du début à la fin. Alors que moi j'étais heureuse de me faire prendre ainsi, I. prit l'initiative de me faire découvrir son petit martinet tout mignon. Comme je n'étais pas très bien placée pour offrir correctement mes fesses à I. sans risquer qu'un coup n'échappe sur R., il s'allongea sur le dos afin que je le chevauche de manière à présenter ma croupe bien cambrée à ma propriétaire. Elle me frappait plutôt doucement et je trouvais très agréable cette sensation de douleur couplée au bonheur que me procurait mon futur Maître. Mais comme je suis assez joueuse, je me suis permise de leur dire qu'I. me frappait bien plus gentiment que mon propriétaire. Je dois reconnaître que cela ressemblait vraiment à de la provocation et I. ne manqua pas de répliquer. Elle s'y est tellement bien attelée que j'aurais aisément pu dire le contraire à ce moment là. Je pense que ce qui a retenu mes larmes ce jour là, c'est d'avoir pu me blottir contre R alors que ma future Maîtresse s'acharnait contre moi. Je pense quand même qu'il n'a pas vraiment apprécié que je m'agrippe au point de lui faire mal, ce qu'il n'a pas manqué de m'interdire.

Lorsque R. se décida à jouir, ils eurent la mauvaise idée ( et oui parfois, cela arrive) de me laisser le sucer jusqu'à recevoir son précieux jus dans la bouche. J'étais donc à genoux devant lui, la bouche ouverte et la langue pendue, attendant toute contente cette honneur qu'allait me faire mon futur Maître. J'ai beaucoup aimé le sentir éjaculer ainsi mais douée comme je suis, j'ai gardé son jus jusqu'à ce qu'il me remette son sexe dans la bouche... là, j'ai voulu avaler mais ce fut un vrai petit drame. J'ai vraiment détesté le goût si bien qu'un commentaire désobligeant m'a même échappé. Je m'en voulais déjà avant même d'avoir finit ma phrase et dans le feu de l'action, j'ai enlevé mon bandeau. Je découvrais enfin ma future Maîtresse qui me regardait. A sa place je me serais vraiment dit que c'était un beau gâchis. R. était carrément parti tant je l'avais énervé et déçu. C'est quand même vraiment dommage, d'autant plus que j'aurais aimé pouvoir regarder I. avec fierté et non avec honte comme c'était le cas. En plus de ma honte, j'étais complètement indécente, nue et le visage tout embrumé, face à ma propriétaire déjà vêtue.

Malgré cette fin lamentablement ruinée par mes soins, je garde un souvenir merveilleux de cette journée. C'est curieux mais malgré le fait que mes propriétaires ne me ménagent pas vraiment, je garde toujours une impression très douce de mes moments passés avec eux. De toute façon je n'ai pas choisi de devenir leur soumise sans raison et je pense que mes propriétaires seront des Maîtres vraiment parfaits et idéals pour moi. Ils savent déjà très bien comment me prendre alors que nous nous ne sommes vu que très peu, grâce à eux, chacune de nos rencontres sont belles et marquantes et je trouve qu'ils se complètent fort bien pour me dresser en belle petite chienne soumise.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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