Offerte à Eux : le Journal d'une jeune soumise

Parfois, il m'arrive de faire des rencontres nocturnes avec mes chers I. et R., mais exclusiment dans mon sommeil. Voilà donc le récit des bribes de souvenirs qui me restent de mon dernier passage entre les mains de ma belle Propriétaire.

Nous étions donc seules toutes les deux, dans l'entrée de chez moi, ou devrais-je dire de chez mes parents. Elle était là, debout tout près de moi... j'étais à genoux, à hauteur des jolies fesses que Son léger pantalon me permettait de deviner.

Elle était à la fois douce et souriante... Elle me tenait les cheveux, avec tendresse et fermeté... j'étais Sa chose, Son petit animal docile, cela me rendait heureuse dans mon rêve, mais ce soir, cela me donne encore plus envie d'être avec Eux.

Néanmoins, comme je suis plutôt avide de mes Propriétaires adorés, j'ai profité de nos étranges retrouvailles pour aller découvrir l'une des parties de Son corps dont je n'avais pas encore eu la chance de m'occuper. Effectivement, cette frustration d'avoir été autrefois aux pieds d'I. et de ne pas en avoir profité m'a naturellement conduite à y penser... c'est ainsi qu'Elle m'autorisa à jouer longuement avec Ses petits pieds. Je me souviens encore comme j'ai aimé les embrasser, les lécher et même les sucer avec autant de cœur que celui que j'aurais pu mettre pour savourer la superbe et délicieuse queue de mon Propriétaire.

Pourtant parmi toutes les choses qui ont énormément d'importance à mes yeux, Les serrer contre moi est tout sauf négligeable. Ils me manquent, j'y pense perpétuellement... mais ma Propriétaire s'est vraiment montrée adorable cette nuit là.

En effet, j'ai une étonnante image d'Elle et moi dans une drôle de posture... j'étais à genoux devant I., littéralement blottie contre Elle et presque accrochée à Sa taille comme si je ne voulais plus jamais La laisser partir et m'abandonner de nouveau. Mais je n'étais pas pitoyable pour autant... au contraire, j'étais heureuse, enfin protégée par Ses mains qui me caressaient les cheveux et Ses sourires assez amusés de me voir ainsi contre Elle.

e.