Présentation

Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 15:07

A mon sourire, ma Maîtresse s'aperçoit que je sais à qui appartiennent les mains qui m'étranglent tendrement. Mais j'adore ça... sans doute un peu trop... car Il s'arrête avant même que je ne puisse commencer à protester. Quel dommage...

Alors mon Propriétaire s'approche d'Elle. Je Les entends s'échanger quelques mots à l'oreille. Mais quoi? Je ne suis pas sûre de comprendre... ou plutôt certaine d'avoir rien compris. Qu'importe, je suppose que je saurai très bientôt ce que j'ai à savoir... mais je commence tout de même à avoir un noeud au ventre. Qu'est-ce que nous pouvons bien faire là? Loin de tout.

Les chuchotements finis, voilà qu'Ils s'embrassent... Est-ce le résultat d'une idée machiavélique qui Les excitent ainsi? Je ne sais pas, mais je donnerais cher pour pouvoir me joindre à Eux. Sauf que je sens que ce n'est pas le moment, donc je me contente de me délecter en Les observant."

" Chéri, regarde moi cette salope! Il ne manque plus que la langue tirée pour qu'Elle puisse être une véritable chienne."

Gênée, je baisse de nouveau les yeux, ainsi que la tête pour mieux dissimuler mon air confus.

" En effet, mais nous ne tarderons pas à Lui montrer ce qu'elle est vraiment."

Il s'installe alors derrière nous puis I. démarre, nous quittons enfin cette rue austère. Tant mieux, j'avais trop peur qu'Ils m'emmènent vers le terrain vague sordide que j'avais aperçu. Même s'Ils ont du goût, je Les sais quand même prêt à tout pour me soumettre et m'humilier.

" Alors petite pute, ça ne te dérange pas de poser tes fesses à ma place?"

" Je suis désolée, je pensais que..." Il m'interrompt.

" Viens tout de suite derrière! J'aurais préféré être à côté de ma douce mais je peux quand même te faire payer de m'en avoir empêché..." Je Le regarde alors, manifestement fautive.

" Qu'est-ce que tu attends?!?" surenchérit-Elle l'air malicieux.

Je réalise alors que ma Maîtresse avait fait exprès de me laisser monter là... mais je m'active, essayant tant bien que mal de baisser ma jupe trop courte pour dissimuler mon postérieur aux voitures d'en face.

" Inutile de te fatiguer, ajouta-t-elle, une fois sur ton Maître tu ne risqueras pas de les cacher à qui que ce soit."

A peine passée derrière, mon Propriétaire glisse un doigt dans l'anneau de mon collier pour m'entraîner vers Lui. Quoi qu'un peu surprise, je me laisse guider. Une fois installée sur Ses genoux, La prédiction d'I se confirme.

Je Le sens alors qui me caresse délicatement... Ses mains sont douces, un vrai bonheur... que je ne pense pas avoir mérité. Mais après quelques instants, "aie", il n'y a plus de doute. Une première fessée vient de s'abattre, suivie de quelques autres, et encore beaucoup d'autres entrecoupées par quelques douceurs aussi sournoises que délicieuses. Puis plus rien. J'attends les suivantes, un peu inquiète. Mais au lieu de ça je Les entends parler de moi.

" Chérie, tu ne trouves pas qu'elle a grossi?"

" On dirait bien! D'ailleurs elle se dandine encore plus que d'habitude."

" En effet, c'est vraiment lamentable!."

Ce que j'ai honte... C'est vrai que j'ai pris du poids, mais je ne gigote pas beaucoup? Sûrement que si, mais j'ai vraiment mal. En plein brouillon intérieur, je me laisse surprendre par de nouvelles caresses. Je me détends cependant, devinant tout de même qu'il ne s'agit que du calme avant la tempête.

" Chéri, ce type n'arrête pas de nous reluquer... j'ai l'impression qu'il est en train de se branler..."

Quelle horeur! Je réalise que le nez enfoui sur la banquette arrière, si moi je ne vois rien, mon cul est bel et bien offert à la vue de tous.

" Cela dit, vu comme tu l'as bien rougie, il aurait tort de se gêner."

Comment le sait-Elle alors que je n'en ai pas la moindre idée? Je jette un coup d'oeil furtif... évidemment, le rétroviseur est rivé sur mon Propriétaire et moi.

" Enfin si ce pauvre type veut du spectacle, je vais plutôt lui offrir celui de la huitième merveille du monde..."

Un plaisir intérieur m'anime alors à l'idée de bientôt profiter de Sa queue, qui bien sûr est la merveille dont il s'agit ( sauf que moi, je la placerais en bien meilleure position du classement). Je le sens alors me tirer par les cheveux pour me mettre à quatre pattes.

" Mieux que ça, traînée, cambre toi bien!" ajouta ma Propriétaire.

J'obéis instantanément, me cassant le dos pour Leur être agréable.

" C'est bien petite pute! Maintenant viens me sucer", dit-il en me présentant sa queue raidie.

Je m'empresse alors d'approcher ma langue de cette partie de Lui que j'affectionne tout particulièrement. Aucun millimètre ne m'échappe, ma bouche est trop avide de ce précieux totem, qui pour être le seul que j'aime est nécessairement mon préféré. Je savoure donc cette merveille, la titillant et la léchouillant voluptueusement. Mais ma symbiose est tout à coup perturbée car je me rends compte que Leur conversation est en train de me concerner.

" Ma douce, qu'est-ce qu'on fait si on croise la police?"

" On peut toujours la prêter pour les laisser en faire ce qu'ils souhaitent!"

" Bonne idée, mais cette pute serait fichue d'aimer se prendre des matraques dans tous les trous."

Je fais mine de n'avoir rien entendu, mais mon Maître a vraisemblablement remarqué que l'espace d'un instant j'avais mis moins de coeur à le vénérer. Effectivement, Il m'empoigne par les cheveux et se met à me baiser brutalement la bouche, tout en me pinçant le nez pour s'assurer m'étouffer d'autant plus. Malmenée, j'entends cependant ma Maîtrese répliquer au bout de quelques instants.

" De toute façon nous sommes presque arrivés donc la question ne devrait pas se poser. D'ailleurs, petite chienne, je t'ordonne de faire jouir ton Maître avant que nous nous arrêtions."

Pourvu qu'Il soit coopératif, sinon je n'ose pas imaginer ma punition. Mais par "chance", je sens la pression sur mon visage qui diminue et la douleur de ma gorge qui s'apaise.

" Obéis à ta Maîtresse!"

Je me remets donc à l'oeuvre, telle une assoiffée espérant le plus précieux des jus. J'en ai vraiment trop envie, mais je sais que je suis très expressive à la manière dont je le vénère avec une volonté et une joie évidentes.

" Je veux que tu avales tout... n'en perds pas une goutte." 

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je réponds donc au souhait de ma Maîtresse en Lui servant au mieux de réceptacle.

" Chéri, nous y voilà justement. Tu veux bien la préparer pour sa ballade...."

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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