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Lundi 20 novembre 1 20 /11 /Nov 20:51

A la suite de ma terrible journée de dimanche, j'espérais bien évidemment de leurs nouvelles et par bonheur,  I. et R. ont eu la bonté de m'en offrir. Comme ce message a énormément de valeur et d'importance à mes yeux, je pense qu'il est souhaitable qu'il trouve sa place ici même, au coeur de mon journal. Voici donc le précieux message que mes propriétaires m'ont envoyée le 13 novembre:
 

 

Bonjour Elodie,

Nous imaginons facilement que tu trembles à la lecture de ce message, donc détends toi car aucune décision n'est prise à l'intérieur de celui ci.

Tout d'abord merci pour les fleurs, le bouquet est très beau, et siège dans notre salon.

Ensuite , puisque tu te poses la question, qu'allons nous faire de toi ?

A ce moment précis nous nous posons la même question. Si nous t'avons lu avec attention, tous deux, ces dernières semaines, nos impératifs nous ont fait mettre de coté pendant quelques temps ces préoccupations.

Nous avons pourtant tout lu, tes mails comme ton journal.

Alors voilà sur quoi on peut tenter de s'engager : novembre sera le mois de la décision. Nous allons d'abord parler au sein de notre couple, voir si il y a de la place pour une soumise, et si c'est le cas, voir dans quelle mesure cette personne peut être toi.

Pour nous le principal problème reste que tu es une personne imprévisible. Et si nous devons une fois de plus nous engager, ce n'est pas pour repartir dans des histoires pas possibles dans quelques semaines. Tu dois savoir que nous allons être beaucoup moins souples que par le passé. Nous allons être beaucoup plus sévères devant tes fautes et tes erreurs. Beaucoup plus intransigeants aussi. Et nous n'avons aucune certitude sur le  fait que tu sois capable d'assumer cela.

Il y a aussi la possibilité que vouloir te "racheter" soit un but pour toi, voire un caprice, et que le fait de parvenir à cette finalité crée en toi un relâchement qui finalement ne te permet pas de tenir les engagements que tu proposes aujourd'hui. Cette hypothèse n'est pas négligeable pour nous.

Il est évident que si nous devons appréhender de nouveau une relation avec toi en tant que soumise, ce sera pour une soumission totale. Si par le passé il était impensable de te proposer de vivre une histoire comme celle que tu as lu dans les différents livres, aujourd'hui suite à tes erreurs et certains de tes choix (comme le tatouage), ce sera différent. Tu devras te préparer intellectuellement, physiquement et moralement, à être notre esclave.
Inutile de dire "oui oui" à la hâte pour "nous retrouver" ou pour ne plus avoir l'impression d'être abandonnée.
Tu as vu les dégâts que tu as causé : la peine que tu as provoqué et que tu as ressenti, la perte totale de confiance de notre part, la déception, le gâchis, la perte de temps etc etc..
Tout cela parce que par le passé tu as dit "oui" trop vite et sans réfléchir : oui au contrat, oui aux promesses, oui à des engagements non tenus, oui au don de toi... oui a des tonnes de choses que tu ne pouvais pas assumer, ou vivre.

Tu restes une "jeune fille". Ce n'est pas un défaut, mais ça peut jouer sur tes choix, et ta capacité à foncer sans réfléchir. D'un autre côté nous sommes des personnes qui croient a l'apprentissage par l'erreur, à la prise de maturité subite devant des événements douloureux et à la possibilité de se racheter. Donc ça pèse dans la balance, et à ton avantage. Mais encore une fois réfléchi, nous ne tolérerons aucun écart de ta part.

Sache juste que si tu échoues la douleur que tu as ressentie jusque là est bien loin de ce que nous pouvons te faire endurer.

Pour finir, nous avons lu dans un de tes messages que le psy que tu voyais ne te convenait pas. Il n'y aura aucun retour de notre part tant que tu ne suivras pas une psychanalyse. Là aussi informe nous de tes recherches.

Voilà pour aujourd'hui.
Le résumé de tout cela est donc : tu auras une réponse définitive de ce que nous pensons faire de toi ce mois ci, et tu dois réfléchir à si tu es prête à être une véritable esclave, ou juste une partenaire de jeu. On se doute de ce que tu te dis : "si je me suis faite tatouer, et si je pleure tous les jours c'est que je le veux". Peut être, mais nous te donnons l'ordre d'y réfléchir de nouveau et de façon profonde, pas juste comme une "envie". Nous te parlons de désir profond.

Au revoir
Notre prochain message sera plus précis sur ton sort.
Il arrivera demain ou dans 15 jours, peu importe. Tu as donc beaucoup à jouer dans cet intervalle. A toi d'être bonne et convaincante, même si le débat au sein de notre couple reste le point primordiale.

Bonne journée.
I. et R.

 

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Mercredi 15 novembre 3 15 /11 /Nov 16:37

Dimanche, alors que je relisais d'anciens messages d'I. et R., je me suis très vite effondrée, bien incapable de leur écrire comme je le fais quotidiennement. Cependant, il m'est également apparu comme une évidence qu'il était temps pour moi de mettre en pratique l'idée que je jugeais lumineuse...

Après m'être pomponnée en quatrième vitesse, je décidais de me rendre dans leur quartier afin de leur faire livrer des fleurs accompagnées d'une lettre dans laquelle je leur faisais savoir que je resterai quelques temps non loin de chez eux, au cas où ils souhaiteraient me voir.

A vrai dire, au début tout allait bien car aucun d'eux ne m'avait croisée dans la rue. Ensuite j'ai ennuyé le fleuriste pour qu'il me compose un bouquet avec les fleurs du même nom que ma chère propriétaire alors que la boutique était pleine à craquer. Puis ma tristesse m'est revenue de façon fulgurante lorsque l'on m'a avertie qu'elles ne pourraient être livrées que le lendemain. J'étais alors totalement désemparée car je savais pertinemment qu'il m'aurait été impossible d'être encore à proximité de chez eux le lendemain.

Du coup, j'ai pris la décision d'y aller moi-même... enfin j'ai tout de même vérifié avant de partir s'il me serait quand même possible de ramener la bouquet au magasin pour qu'il soit livré le lendemain. C'est ainsi que je suis allée en direction de chez eux la peur au ventre, en me cachant tant bien que mal derrière leur surprise.

Je n'ai pas reculé une seconde sur le trajet, pourtant j'étais si terrorisée que je m'étais dit qu'au pire, si je ne trouvais vraiment pas la force de rentrer dans leur appartement, je pourrais toujours les ramener à ma mère...

Une fois en bas de chez eux, j'ai essayé de les apercevoir par la fenêtre mais en vain... je me suis donc demandée s'ils étaient bien là. Lorsque j'ai pénétré chez eux, je me suis attardée un instant sur la boite aux lettres avant de gravir les marches en m'efforçant de me faire discrète.

Arrivée devant la porte, je me suis sentie extrêmement mal notamment parce qu'I. et R. étaient là tous les deux, je les entendais. Je ne sais pas ce qu'ils se racontaient mais ce que je savais, c'est qu'eux étaient du bon côté de la porte du paradis et moi de l'autre, seule et indésirable. Je me suis donc empressée de farfouiller partout dans mes affaires pour retrouver le mot que je leur avais écrit. Naturellement, je ne le trouvais plus alors que je voulais absolument m'enfuir.

Dès l'instant où je l'ai eu entre les mains, je l'ai jeté sur le tapis sans réfléchir et j'ai détalé très vite. Pourtant, comme je tenais à ce qu'ils trouvent ce que je leur avais déposé à grande peine, j'ai composé leur numéro alors que je n'étais qu'en bas de l'immeuble.

C'est R. qui m'a répondu d'un ton vraiment glacial... j'étais en pleine course pour m'éloigner au plus vite de la scène du crime lorsque je lui ai lâché quelques phrases plutôt incompréhensibles tant ma panique était grande. Le pompon reste tout de même que j'ai "raccroché au nez de R." dès que mon indication fut exprimée, alors que j'étais folle de joie de l'entendre enfin me parler. En même temps, vu que je n'avais pas le droit de téléphoner, on peut peut-être considérer que deux maladresses antagonistes s'annulent... je plaisante bien sûr.

Normalement tout aurait du être simple et bien réglé. Quelqu'un devait s'y rendre à ma place et je n'aurais donc pas eu besoin d'interférer avec leur vie privée. J'aurais alors tué le temps près de chez eux en priant très fort pour avoir le plus petit signe de leur part.

En fait, après m'être heurtée à une telle épreuve, j'étais dans un état lamentable. Je suis allée patienter dans le parc près de chez eux mais plus les minutes s'écoulaient, plus je doutais et plus je pleurais. Une multitude de questions me torturaient et je n'ai retrouvé aucune contenance jusqu'à  l'écriture d'une seconde une lettre. En effet, j'avais besoin de partager avec eux mes terribles émotions et je me suis soulagée un peu grâce à mes mots. Je suis alors retournée leur porter, cette fois dans la boite aux lettres, puis je suis retournée chez moi complètement désespérée et anéantie...

E.

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Mercredi 8 novembre 3 08 /11 /Nov 23:07

J'ai bien conscience qu'actuellement I. et R. ont eu de quoi se poser des questions quant à mon implication et à mes engagements vis-à-vis d'eux. Pourtant je suis bien obligée de reconnaître que je pense à eux plus que jamais.

Chaque jour, je me demande ce que je pourrais bien faire pour débloquer cette situation qui me fait toujours atrocement souffrir, j'ai d'ailleurs eu une "illumination".

En outre, le dernier message que mes propriétaires m'ont envoyé remonte à mi-septembre. A l'époque, je l'ai vu comme un espoir.

Dorénavant je n'arrive plus à m'apaiser tant les idées s'entremêlent dans mon esprit. Encore que pour être tout à fait honnête, ceci n'est pas récent. Cela fait déjà plus de deux mois qu'ils ne s'échappent plus de mes pensées et que je ne trouve plus de réel repos.

Bien évidemment, je ne profite pas de l'absence de surveillance d'I. et R. pour faillir à mes promesses, bien au contraire. Aujourd'hui je ne me mens plus à moi-même lorsque je me dis que mes propriétaires seraient sans doute satisfaits de mon comportement général.

Je passe la plus grande partie de mon temps à faire en sorte d'équilibrer ma vie. Au début, je le faisais pour eux mais à présent je le fais avant tout pour moi car cela m'aide à vivre mieux. Après tout, je ne cherche pas à m'enfoncer à leurs yeux ni à me morfondre au point de stagner mais plutôt à leur donner envie de revenir vers moi en laissant toutefois le temps faire son oeuvre.

Pour ce qui est des griffures que j'aimais tant me faire, comme promis, je n'ai pas recommencé. Par contre je croyais que l'envie me passerait assez vite, ce qui était une erreur. Il m'arrive encore fréquemment d'en mourir d'envie et pourtant grâce à mes propriétaires, je n'ai plus cédé la moindre fois à une telle pulsion.

Lorsque je manque de courage, il me suffit de toucher mon tatouage du bout des doigts ou bien de me remémorer les magnifiques souvenirs qu'ils m'ont offerts pour puiser suffisamment de force en moi pour faire face à des situations qui seule, me dépassent. Comme se sont les seules présences d'eux qui me restent,, heureusement qu'elles ont une immense valeur pour moi.

Naturellement, je n'ai pas eu le moindre flirt avec qui que ce soit et je suis totalement convaincue que cela ne risque pas d'arriver avant des mois voire des années. Sur ce point, I. et R. peuvent être totalement sereins car l'idée même de toucher quelqu'un d'autre qu'eux ne me laisse pas indifférente mais me dégoûte totalement. De toutes façons il est absolument hors de question que je retombe un jour dans la sexualité médiocre de ma vie avant eux.

Je leur ferai sans doute part très prochainement de l'illumination qui m'est venue. Pourtant j'ai beaucoup d’appréhensions et de craintes liées à l’angoisse terrifiante de me retrouver face à une réalité qui me bouleverserait et qui me ferait certainement les regretter à jamais.

E.

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Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:49

Cette première rencontre avec R. avait été si belle que nous avions tous deux envie de nous revoir très vite et c'est justement ce que nous avons fait le lendemain. J'allais enfin découvrir le visage de cet homme qui m'avait si bien baisée. J'étais extrêmement excitée et je n'étais plus qu'une boule de désir à partir de l'instant où il m'a invitée jusqu'au moment où j'ai enfin pu rejouer avec son délicieux sexe.

Arrivée chez lui, j'ai encore porté un bandeau sur mon visage afin de ne pas briser soudainement le charme de ma rêverie de la veille. Il m'attendait, toujours aussi charmant et troublant, pour me conduire de nouveau dans ce lit des merveilles.

J'étais un peu endolorie, ce qui a freiné la fougue de mon cher proprétaire. J'ai donc eu le droit à des ébats plus tendres mais tout aussi délectables. J'avais cependant hâte de voir enfin mon futur Maître et comme la pénombre règnait dans la pièce, il me permit d'ôter mon bandeau. Je ne pouvais alors que deviner son visage mais je préférais finalement rester les yeux fermés dans mon fantasme.

Nous avons ensuite rejoint le salon où j'ai vraiment découvert R. à la lumière. Il me fait un petit peu penser à Gainsbourg, en bien plus mignon et avec l'alcoolisme en moins. Mon propriétaire n'est pas beau aux yeux de tous mais aux miens, comme à ceux de I., il l'est. Quelque chose me grise chez lui et le rend terriblement excitant et désirable. De toutes façons mes Maîtres sont merveilleux et c'est bien pour leurs nombreuses qualités que je désire tant devenir leur soumise.

Ce jour là, personne ne m'attendait en bas de l'imeuble, ce qui nous a permis de passer ensemble une belle soirée à discuter. Cependant, lorsque mon propriétaire m'a gentiment posé devant lui un coussin afin que je ne me fasse pas mal aux genoux... je n'ai même pas daigné lui faire la fellation qu'il attendait. En même temps, je dois bien avouer qu'à cette époque, j'aimais me sentir chienne mais j'étais par contre bien loin de désirer m'offrir totalement à eux.  Dire qu'aujourd'hui je pourrais le supplier de me laisser sucer son sexe... je regrette vraiment de ne pas avoir profité de cette rare occasion de faire plaisir à mon propriétaire.

Ce genre de caprice de star est bien évidemment de l'histoire ancienne et je ne compte  plus m'amuser ainsi à jouer avec mes propriétaires, sauf bien sûre si c'est dans l'espoir d'être forcée ou punie.

Mais en réponse à mon refus, R. m'avait donnée une légère claque sur la joue, ce qui m'avait totalement décontenancée au point de me faire monter les larmes aux yeux. Là, ce n'était pas du jeu et mon propriétaire a gentiment calmé la situation plutôt que de persister.

Aujourd'hui mes désirs ne sont plus ambigüs et ce genre de situations pénibles ne devraient, tout du moins je l'espère, ne plus se reproduire. Il est tellement plus doux et plus simple de s'offrir comme je l'ai fait lors de notre dernière rencontre tous les trois qu'il hors de question que j'en revienne à douter de ma "vocation" à devenir leur esclave. J'ai l'impression d'être pour ainsi dire faite pour être à eux alors à quoi bon m'en priver puisque mon aventure avec eux sera sans doute l'une des plus belle de ma vie.

Leur chienne

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Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 11:40

Nous avions convenu avec mes propriétaires que je rencontrerais R. à mon retour de vacances en avril. Durant tout mon séjour, j'ai beaucoup pensé à cette rencontre... je savais qu'il m'attendrait chez eux et que je devais le rejoindre les yeux bandés. Je dois bien admettre qu'à ce moment là, je n'étais à la fois pas très rassurée par la situation mais en même temps très excitée par le contexte. Toujours est-il qu'arrivée le jour J, je me suis bien rendue au rendez-vous...

De la gare à la porte de chez eux, R. m'accompagnait au téléphone. Arrivée face à la porte, j'ai raccroché afin de me placer sur les yeux le masque bleu que j'avais reçu dans l'avion. J'étais très angoissée à l'idée de ce qui risquais de m'arriver une fois le seuil franchi. Mais lorsque mon propriétaire ( qui ne l'était pas encore à l'époque) m'ouvrit la porte, j'étais plus que jamais excitée.

Sans me laisser le temps de le découvrir, il me laissa aller me laver les mains puis m'a guidée jusqu'à leur lit. Je me trouvais alors encore habillée, à demi allongée sur le lit avec lui à mes côtés. Il s'efforçait de me rassurer car j'étais réellement pleine de craintes à me retrouver ainsi sans défense face à un homme qui me donnait follement envie de sexe mais qui aurait bien pu ne plus être l'adorable pervers qui m'avait déjà tant de fois montré que je pouvais avoir confiance en lui.

Sous ses caresses, mes craintes se sont très vite dissipées et je commençais à flotter dans une sorte de fantasme réel. Malheureusement, je ne me tenais pas correctement et je n'ai pas cessé d'essayer de le voir grâce à mes mains ainsi qu'à gigoter. Lorsque R. m'a menottée à ma demande, je n'étais vraiment pas plus sage et je fus donc très vite privée de ce jouet qui pourtant me plaisait bien .  Il commençait à perdre patience et m'a vraiment très inquiétée lorsque sa belle voix sensuelle a laissé place un une voix sévère et énervée. Comme j'avais pris peur, j'ai cessé de l'ennuyer et il a ainsi pu continuer à me découvrir plus tranquillement.

Mon cher propriétaire me demanda alors de me caresser devant lui comme je l'avais déjà fait avec lui au téléphone. Mais ce jour là, je les savourais bien plus car R. avait eu la bonté de se branler dans ma bouche par la même occasion. Je ne prétendais absolument pas vouloir devenir leur soumise et j'étais malgré tout comblée d'être soignée ainsi... d'ailleurs il m'avait également fait découvrir une sorte de bague vibrante qui se scratche autour d'un doigt. Je me sentais vraiment bien sous les vibrations de ce délicieux objet, d'autant plus que R. s'amusait à en augmenter l'intensité jusqu'à ce que cela soit trop pour moi.

Ce jour là, mon propriétaire m'a comme à chaque fois, merveilleusement bien baisée. Cela fait déjà plus de quatre mois mais je me rappelle encore du plaisir qu'il m'a procurée. J'ai d'ailleurs été très surprise par sa délicieuse fougue lorsqu'il me prenait. Lorsque j'étais à quatre pattes devant lui, il m'a demandé au bout d'un moment de lui donner mes mains mais je ne lui en ai offerte qu'une. A cela il insista et je lui répondit un peu naïvement que je ne pouvais pas car sinon j'allais tomber. J'ai beaucoup aimé sa réaction... il me poussa un peu brutalement la tête contre le matelas mettant ainsi fin à mon problème existentiel. C'est certes un détail mais j'aime encore y penser aujourd'hui car je m'étais vraiment sentie chienne et objet.

Après avoir passé deux petites heures telle une prostituée venue voir un client, j'ai vite pris une douche puis suis partie rejoindre une amie qui faisait le pied de grue en bas de l'immeuble. J'étais vraiment navrée de devoir partir si vite car ce moment fut tellement intense pour moi que j'aurais aimé qu'il ne finisse jamais.

Cette première entrevue avec mon propriétaire m'avait vraiment troublée et mis tous mes sens en éveil. J'étais bercée par le plaisir et le charme de ce rendez-vous qui à la base n'était pas forcément supposé terminer ainsi. J'entends par là que R. m'avait simplement demandé de faire ce que je désirais sans me forcer ni me freiner mais je pense très franchement qu'il savait bien que je n'aurais jamais pu faire autrement que de le désirer de tout mon être tant il sait bien arriver à ses faims avec moi. En même temps c'est une très bonne chose puisqu'à chaque fois qu'il m'a entraînée vers ses désirs, je me suis trouvée totalement heureuse et comblée.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 22:50

Environ deux semaines après ma première rencontre avec I., mes propriétaires m'invitèrent de nouveau à partager un charmant cinq à sept avec eux. J'attendais ce jour avec la plus grande impatience car je savais qu'enfin mes propriétaires me feraient découvrir la cravache. Il était donc prévu que je vive enfin ce fantasme qui avait déjà longuement émoustillé mes sens lorsque je me caressais.

J'étais à la fois heureuse et inquiète car même si je dois reconnaître que cela m'excitait énormément, il n'en est pas moins que j'avais très peur de la douleur que cela pouvait représenter. Je craignais vraiment de ne pas être à la hauteur et de décevoir I. et R. en ne supportant pas les coups.

Ce jour là, je me suis encore présentée chez mes propriétaires avec les yeux bandés, comme nous l'avions convenu. R. m'invita à entrer et m'installa confortablement dans un fauteuil du salon. Il m'avaient ordonné de ne pas bouger et de les attendre, ce que je fis avec excitation et inquiétude.

C'est alors que ma douce propriétaire est venue me rejoindre... je lui ai avoué que j'espérais pouvoir la caresser et l'embrasser longuement mais c'est par la négative qu'I. répondu à ma demande. En effet, ils avaient décidé d'un programme plutôt incompatible avec ce désir mais qui est bien loin d'avoir manqué de me plaire.

Mes propriétaires finirent assez rapidement par me mettre debout au beau milieu du salon, me demandant encore de ne pas bouger et de me laisser faire. J'avais du mal à ne pas gigoter car ils était en train de retirer ma robe...  Ne sachant pas quels sous-vêtements choisir pour l'occasion, j'avais opté pour ne pas en mettre. C'est ainsi que je me suis retrouvée totalement nue devant eux. J'étais assez gênée mais mon bandeau me plongeait dans le noir, ce qui m'épargnait d'éventuels regards ou tout autre comportement d'I. et R. qui auraient pu me mettre mal à l'aise.

Je ne sais pas si cela les amusait de me savoir ainsi gênée mais ils prirent tout leur temps avant de revenir s'occuper de moi pour me conduire à nouveau dans le fauteuil, mais cette fois pour que j'y pose mes genoux afin de leur offrir mes fesses. Je me sentais plutôt bien dans cette position indécente et je m'efforçais d'offrir à mes propriétaires un spectacle qui puisse leur plaire, me cambrant donc le plus possible.

Je sentais leur main me frôler doucement, vérifier brièvement mon état d'excitation qui on peut le dire, était déjà très avancé. J'entendais mes propriétaires discuter et I. demander à R. quelle couleur il préférait pour les cordes. Puisqu'il restait sans réponse, je me permis de proposer à I. d'opter pour des liens noirs. Je n'avais évidemment pas mon avis à donner et le fameux coloris ne me fut donc pas divulgué.

I. commença alors une délicieuse danse des cordes sur mon corps. J'adorais la manière dont elle les faisait glisser contre moi, les quelques doigts léger me caressaient parfois au passage. J'étais comme une poupée avec laquelle on jouait... d'ailleurs R. ne manquait d'introduire ses doigts dans ma bouche et finit même par me placer un bâillon dans la bouche. Cela me faisait vraiment mal mais il était absolument hors de question que je leur fasse signe d'arrêter. J'avais mal certes, mais bien trop peu pour risquer de les décevoir. Toujours est-il que je sentais beaucoup de salive dans ma bouche mais je serais incapable de dire si oui ou non je bavais. Quoi qu'il en soit, mes propriétaires ne voulaient pas que je mouille leur beau parquet donc ils placèrent un petit récipient par terre, sous ma bouche.

J'étais vraiment aux anges avec I. qui jouaient avec les cordes, j'étais frustrée de ne pas voir le résultat car j'avais l'impression que le résultat était vraiment joli. D'ailleurs, ma propriétaire m'avait rassuré en me disant que je le verrai et pourtant, après avoir fini de jouer dans le salon, j'avais toujours mon bandeau qu'I. défaisait mon bondage. Elle ne m'avait quand même pas menti, j'ai finalement vu le résultat ici même, sur mon journal. En effet, lorsque mes propriétaires m'ont donné l'adresse de mon journal, j'ai eu un choc en découvrant des photographies de moi, d'autant plus parce que je ne m'étais même pas aperçue que j'avais joué au modèle avec eux. En tout cas, j'avais raison, ma propriétaire m'avait très joliment décorée ce jour là.

Pour en revenir à nos jeux, après m'avoir massacré la bouche avec cet odieux bâillon, ils décidèrent de me l'enlever afin d'entendre mes plaintes au moment où ils me cravacheraient les fesses. Par la même occasion, R. s'est largement servi de ma bouche, content de voir que j'avais la bouche trempée de salive grâce au bâillon, à tel point que j'ai parait-il remplit le récipient qu'ils avaient posé.

Lorsqu'ils m'ont retiré le bâillon, il m'était devenu très douloureux de fermer la bouche et pourtant j'insistait alors que R. voulait faire place à son sexe. En fait j'étais bien heureuse de le sucer d'autant plus que c'était un bon compromis pour que ma bouche s'apaise. Cependant, lorsqu'il me baisait littéralement la bouche, j'avais presque des difficultés pour respirer et ils m'ordonnèrent donc de faire silence, chose qui était quand même bien loin d'être évidente.

Bien sûre, la première découverte de ma journée fut le bondage par les soin de ma future Maîtresse. J'ai vraiment beaucoup apprécié car je me sentais vraiment objet, livrée à eux. En plus, c'était très doux et agréable de se faire ainsi bien traitée par mes propriétaires.

Me faire cravacher fut une autre affaire. Au début, j'ai été assez surprise et rassurée de voir qu'en fait, cela ne faisait pas si mal que ce que j'aurais pu imaginer. Mais rapidement, les gentils coups furent plus rapide et plus durs. Je m'efforçais de me tenir correctement mais rien n'y faisait, je ne pouvais m'empêcher de gesticuler, ce qui m'a vallut un accidentel coup sur le sexe dont je me serais volontiers passée. Malgré tout, j'étais très heureuse d'être là, de découvrir enfin ces sensations à la fois très douloureuses et très douces. Je me sentais bien et étais vraiment heureuse d'être leur chienne. J'ai de toutes façons beaucoup de chances d'avoir de si gentils propriétaires qui s'occupent si bien de moi. En même temps ils ont une sacrée tâche, tout comme moi, pour qu'un jour je devienne leur soumise idéale.

Au bout d'un moment, je crois que mes Maîtres ont eu envie de moi et ont donc décidé d'aller dans leur chambre. J'étais bien sûre très contente mais un peu pincée car je me disais à ce moment là que je n'aurais jamais eu le plaisir d'admirer mon premier bondage.

Une fois dans la chambre, j'ai bien vite oublié ce genre de considération entre les cuisses de mes Maîtres. Chacun leur tour, je me suis occupée de jouer avec leur sexe en étant franchement malmenée. Par moment, je m'occupais de lécher I. en même temps que R. mais il est vrai que ce n'était pas chose aisée avec le bandeau. Cependant j'aime énormément partager le plaisir de lécher ma future Maîtresse avec mon propriétaire.

Moi qui fait d'ailleurs un petit blocage à l'idée de me pénétrer seule avec mes doigts, j'ai aussi beaucoup de mal à pénétrer ainsi ma propriétaire. J'en ai envie mais j'ai très peur de lui faire mal, probablement à cause de l'indélicatesse de certains hommes que je n'aurais jamais du laisser me toucher. Toujours est-il que R. m'a invité à pénétrer I. en collant mon doigt au sien, ce qui m'a énormément plu et beaucoup rassurée. C'est curieux mais seule, je ne m'en sens pas encore capable et j'espère que cela me passera vite car s'il y a une chose que j'aime par dessus tout lorsque je suis avec mes Maîtres, c'est voir leur rayonnant de plaisir.

J'étais toujours occupée à lécher le sexe de ma propriétaire lorsque R. me pénétra en levrette. Vu la vigueur qu'il mettait me mettre en miette, il n'était vraiment pas aisé pour moi de continuer à m'occuper d'I., surtout lorsque mon propriétaire décidé de me sodomiser. C'était la toute première fois qu'il me pénétrait ainsi et il le fit avec une telle douceur que je n'ai éprouvé que du plaisir du début à la fin. Alors que moi j'étais heureuse de me faire prendre ainsi, I. prit l'initiative de me faire découvrir son petit martinet tout mignon. Comme je n'étais pas très bien placée pour offrir correctement mes fesses à I. sans risquer qu'un coup n'échappe sur R., il s'allongea sur le dos afin que je le chevauche de manière à présenter ma croupe bien cambrée à ma propriétaire. Elle me frappait plutôt doucement et je trouvais très agréable cette sensation de douleur couplée au bonheur que me procurait mon futur Maître. Mais comme je suis assez joueuse, je me suis permise de leur dire qu'I. me frappait bien plus gentiment que mon propriétaire. Je dois reconnaître que cela ressemblait vraiment à de la provocation et I. ne manqua pas de répliquer. Elle s'y est tellement bien attelée que j'aurais aisément pu dire le contraire à ce moment là. Je pense que ce qui a retenu mes larmes ce jour là, c'est d'avoir pu me blottir contre R alors que ma future Maîtresse s'acharnait contre moi. Je pense quand même qu'il n'a pas vraiment apprécié que je m'agrippe au point de lui faire mal, ce qu'il n'a pas manqué de m'interdire.

Lorsque R. se décida à jouir, ils eurent la mauvaise idée ( et oui parfois, cela arrive) de me laisser le sucer jusqu'à recevoir son précieux jus dans la bouche. J'étais donc à genoux devant lui, la bouche ouverte et la langue pendue, attendant toute contente cette honneur qu'allait me faire mon futur Maître. J'ai beaucoup aimé le sentir éjaculer ainsi mais douée comme je suis, j'ai gardé son jus jusqu'à ce qu'il me remette son sexe dans la bouche... là, j'ai voulu avaler mais ce fut un vrai petit drame. J'ai vraiment détesté le goût si bien qu'un commentaire désobligeant m'a même échappé. Je m'en voulais déjà avant même d'avoir finit ma phrase et dans le feu de l'action, j'ai enlevé mon bandeau. Je découvrais enfin ma future Maîtresse qui me regardait. A sa place je me serais vraiment dit que c'était un beau gâchis. R. était carrément parti tant je l'avais énervé et déçu. C'est quand même vraiment dommage, d'autant plus que j'aurais aimé pouvoir regarder I. avec fierté et non avec honte comme c'était le cas. En plus de ma honte, j'étais complètement indécente, nue et le visage tout embrumé, face à ma propriétaire déjà vêtue.

Malgré cette fin lamentablement ruinée par mes soins, je garde un souvenir merveilleux de cette journée. C'est curieux mais malgré le fait que mes propriétaires ne me ménagent pas vraiment, je garde toujours une impression très douce de mes moments passés avec eux. De toute façon je n'ai pas choisi de devenir leur soumise sans raison et je pense que mes propriétaires seront des Maîtres vraiment parfaits et idéals pour moi. Ils savent déjà très bien comment me prendre alors que nous nous ne sommes vu que très peu, grâce à eux, chacune de nos rencontres sont belles et marquantes et je trouve qu'ils se complètent fort bien pour me dresser en belle petite chienne soumise.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 22:50

J'avais rencontré R. en avril mais de nombreux événements ont repoussé ma rencontre avec I. au mois de juillet. Durant tout ce temps, ils avaient tout deux pris beaucoup d'importance pour moi et cette rencontre était "capitale" puisqu'elle devait déterminer ce que ma propriétaire et moi penserions l'une de l'autre.

Je suis donc arrivée devant la porte de mes futurs Maîtres. R. m'ouvrit la porte et m'emmena dans son bureau. J'étais très inquiète à l'idée de découvrir Iris, probablement parce que je ne savais pas vraiment quelle conduite je devais tenir avec une femme. Toujours est-il que lorsque je mis mon sac sur une chaise en me penchant légèrement, mon propriétaire en profita pour me relever ma jupe, ce qui l'espace d'un instant me surpris car malgré le fait que je souhaite leur être totalement offerte, je ne peux pas toujours prévoir mes réactions soudaines. Pour me rattraper, je pris soin de me cambrer contre la chaise pour lui faire comprendre que je lui étais belle et bien offerte. R. se frotta alors derrière moi et me murmura qu'il me défoncerait par tous les trous, choses qui ne s'était encore jamais produite. A ces mots, je commençais à être très excitée... il me mit alors un bandeau sur les yeux et m'emmena auprès de ma future Maîtresse en ajoutant quelque chose comme " chérie, je t'apporte un cadeau tremblant"... Je ne me rappelle pas vraiment de sa réponse mais je conserve parfaitement en mémoire la douceur et la sensualité de sa voix.

Elle m'attendait sur le lit et je l'ai donc rejoint d'un pas mal assuré à cause de ma cécité temporaire. R. nous laissa toutes les deux seules dans la chambre...  nous avons rapidement commencé à nous caresser mais j'avais très peur de ne pas réussir à faire plaisir à I., ou pire, de lui faire mal. J'en profitais donc pour la découvrir très sagement mais fort heureusement, ma propriétaire était bien plus "entreprenante" que moi. Elle s'approcha alors de mon sexe avec une délicatesse très particulière qui me comblait de plaisir... Au bout d'un tout petit moment, I. décida d'enlever le bandeau qu'elle avait décidé de porter pour me rencontrer. A mon grand soulagement, elle avait l'air plutôt contente de m'avoir entre ses mains et finit d'ailleurs par m'allonger sur le lit afin de me fouiller plus facilement le sexe... J'étais alors offerte à I. et très heureuse du plaisir qu'elle me donnait. C'était vraiment délicieux mais un impondérable mit subitement fin à mon plaisir et me bouleversa complètement...

Moi qui attendait depuis si longtemps cette délicieuse rencontre, il a fallut qu'il m'arrive un petit problème certainement lié au stresse qu'avait généré en moi cette rencontre mais aussi l'attente des résultats du baccalauréat qui étaient prévus pour le lendemain. Toujours est-il que j'étais totalement effondrée et totalement perdue face à cette situation que je n'avais même pas envisagée. Mais j'ai la chance d'avoir des propriétaires adorables et exceptionnels qui ont parfaitement su me réconforter lors de ce moment difficile pour moi.

Alors qu'ils avaient discuté ensemble quelques minutes, mes propriétaires sont revenus dans la chambre... R. nous invita I. et moi à venir discuter dans le lit. J'étais donc entre mes futurs Maîtres qui n'en avaient plus que pour moi afin de me consoler. Ils m'offrirent alors le choix de partir ou bien des rester avec eux pour jouer à quelque chose de différent de ce qui était initialement prévu. J'acceptai volontiers de rester et immédiatement, nous commencions  nous caresser tous les trois. Je dois bien reconnaître que j'aimais beaucoup ma place, entre mes Maîtres qui me caressaient tout en s'embrassant.... Je n'ai pas vu cette scène puisque j'avais encore les yeux bandés mais j'en garde un souvenir magnifique.

Ce jour là, j'ai découvert des plaisirs complètement méconnus... j'ai bien sûre eu tout le loisir de sucer le sexe de R. mais aussi celui de découvrir l'intimité de ma propriétaire. J'admets que mes débuts sont très laborieux dans ce domaine mais j'espère un jour pouvoir lire sur le visage de ma future Maîtresse le même plaisir que celui que R. lui offre. Ce jour là, I. a été seule a jouir du sexe de R. mais cela m'a procuré beaucoup de plaisir... il était vraiment délicieux de sentir R. faire l'amour à ma future Maîtresse... je me rappelle d'ailleurs parfaitement le moment où j'ai touché le creux des reins I. alors qu'elle était complètement cambrée... R. m'avait posée la main sur son dos afin de me montrer comme ma propriétaire se met bien et donc pour me montrer l'exemple.

Je garde un très beau souvenir de cette rencontre durant laquelle j'ai eu la chance de profiter de ce superbe spectacle qu'ils n'ont pas manqué de rendre riche et très varié. Malgré mon apparente figure de spectatrice, je me suis au contraire sentie à merveille entre mes propriétaires que je n'ai cessé de sucer et de lécher au point d'être courbaturée et endolorie les quelques jours qui ont suivis cette journée.

Cette rencontre a pour moi été magnifique et très riche en émotion... j'ai quand même le privilège de vivre une sorte de parcours initiatique avec mes propriétaires qui eux, malgré leur jeunesse, sont bien plus expérimentés que moi... ce qui s'est révélé encore plus vrai lors des rencontres suivantes.

Toutes les interrogations que j'avais au sujet de ma propriétaire se sont du même coup envolées... j'avais pris beaucoup de plaisir à me livrer à I. et à découvrir sa douceur, sa sensualité et ses délicieuses formes que j'ai terriblement aimé toucher, comme par exemple sa voluptueuse poitrine que j'ai d'ailleurs hâte de pouvoir à nouveau caresser et embrasser.

Parmi toutes les choses que mes propriétaires me font vivre, je dois bien admettre que la simplicité d'une rencontre douce et sensuelle dans l'intimité de leur chez eux a été pour moi une très belle expérience que j'espère revivre de nombreuses fois avec eux.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Dimanche 30 juillet 7 30 /07 /Juil 15:22

A mon réveil, jeudi matin, j'ai eu le plaisir de découvrir un mail de mes propriétaires. Ils m'y informaient que nous pourrions nous voir le lendemain. Je fus bien sûre très heureuse de cette nouvelle, d'autant plus qu'il était prévu que l'on sorte ensemble pour la première fois.

Vendredi venu, je me fis toute belle pour voir mes futurs Maîtres. Lorsqu'ils arrivèrent en voiture, R. me montra par la fenêtre, en pleine rue, la cravache courte qui devait servir à me punir pour mes fautes d'orthographe. J'étais très heureuse de les voir et m'empressais de les rejoindre. Quelques instants ensuite, nous avons manqué de justesse de finir sous un bus qui roulait trop vite. Dire que j'ai failli ne pas passer cette journée magnifique avec mes propriétaires... cela aurait vraiment été très dommage.

Nous sommes donc arrivés peu de temps après dans la rue où se trouvait le club SM où nous nous rendions. Je ne connaissais pas l'endroit, ils en ont donc profité pour me faire croire que nous allions devoir passer devant le commissariat, chose qui m'aurait vraiment mise mal à l'aise vu mon accoutrement.

J'aperçus très vite une petite porte discrète qui portait le nom du lieu où nous nous apprêtions à rentrer. Une fois à l'intérieur,  nous avons descendu un escalier afin d'arriver dans une pièce feutrée où se trouvaient quelques personnes, notamment une serveuse très dévêtue, tout comme la clientèle soumise.

Peu de temps après, I. et R. me conduisirent dans une pièce à l'étage où j'avais remarqué une sorte de décoration étrange au plafond... Ils me présentèrent une chaise disproportionnée qu'ils avaient placée devant leurs propres sièges. Je supposai donc que je devais m'y asseoir mais R. m'avertit que je devais y mettre mes genoux, ce que je fis sans me faire prier. Pour information, R. m'a appris depuis qu'il s'agissait d'un prie dieux. J'étais donc dos à eux et j'attendais sagement qu'ils viennent me donner les quarante-cinq coups de cravache qu'ils devaient m'administrer pour me punir des fautes d'orthographe que j'avais faites lors de la rédaction de mon journal. Le temps de discuter un instant, R. me serra légèrement le cou avec les lanières d'un martinet, ce fut léger et rapide mais très agréable, probablement parce que j'aime avoir l'impression que mes propriétaires peuvent m'étrangler à tout moment, ce qui me fait sentir encore un peu plus mon appartenance à eux. Ils me demandèrent ensuite de compter chacun des coups qu'ils me donnaient mais j'avais tendance à m'y perdre, ce qui me valut quelques coups supplémentaires. A dire vrai, c'était extrêmement douloureux mais je n'aurais cédée ma place pour rien au monde car j'y trouvais quelque part un certain plaisir et aussi une vraie fierté.

Lorsque ma punition fut terminée, R. me permit de me reposer aux pieds de ma futur Maîtresse. J'avais alors une vu de premier choix sur les chaussures de mes propriétaires, plus particulièrement sur celles de ma future Maîtresse. Bizarrement, moi qui suis d'ordinaire assez obsédée par l'hygiène, l'idée de lui lécher ses chaussures à talons me traversa longuement l'esprit mais je n'en fis rien. R. m'apporta alors un bol d'eau que je m'empressais de boire telle une petite chienne assoiffée. Après cela, mon futur Maître m'ordonna de le sucer, ce que je fis bien sûr avec plaisir.

Rapidement, I. et R. me demandèrent de me déshabiller devant eux au beau milieu de la pièce. Je n'avais alors plus que mon string et mes chaussures. Ils m'attachèrent alors telle une esclave à la "décoration de plafond" que j'avais aperçue en arrivant. Une fois les mains liées à cet objet, ils le remontèrent grâce à un mécanisme avec manivelle pour que mon corps soit totalement tendu. J'étais alors nue devant mes propriétaires mais aussi devant des inconnus qui nous regardaient. Cette présence me mettait relativement mal à l'aise car je savais que l'on me jugeait et n'ayant pas vraiment d'autres points de comparaisons que les exploits de Salomé, autant dire qu'il n'était pas simple pour moi d'être à la hauteur dans cette situation. A titre d'information, je faisais référence au livre soumise  dans lequel figure une partie des correspondances entre une femme soumise et son Maître. C'est d'ailleurs grandement grâce cette oeuvre que mes propriétaires m'avaient conseillée de lire que mes désirs SM se sont éveillés. Pour en revenir à mon récit, la situation était très nouvelle pour moi c'està-dire que même si ce n'était pas la première fois que mes propriétaires me battaient , ils n'avaient pas encore atteint un stade aussi difficile pour moi. En effet, chaque coup devenait à la frontière du supportable voire même la dépassait. Je n'écris pas cela pour me plaindre car je suis extrêmement heureuse que I. et R. m'aient fait vivre cela et je les en remercie encore. Je veux simplement dire que même si c'était physiquement très douloureux, j'y ai quand même trouvé le plaisir de me surpasser et j'ai hâte de pouvoir revivre cela avec mes propriétaires, qui seront d'ailleurs, tout du moins je l'espère, mes Maîtres officiels à ce moment là.

R. m'offrit alors le choix de poursuivre ou d'arrêter. A dire vrai je n'aurais jamais osé arrêter car je sais parfaitement que je l'aurai regretté ensuite, non pas parce qu'ils me l'auraient reproché mais parce que je m'en serais voulu de ne pas en avoir profité. C'est vrai que pour moi ces moments sont rares, exceptionnels et  très précieux alors je ne souhaite pas les gâcher. Toujours est-il que lorsque cela devenait très dur, R. me fit sentir son sexe tendu contre mes fesses et cela m'a énormément encouragée à résister encore un peu plus. Je suppose qu'il y avait bien sûr le désir d'en finir dignement avant de passer à des jeux sexuels mais aussi la satisfaction et le plaisir de sentir R. excité de me voir ainsi.

Mes maîtres eurent cependant rapidement la complaisance ou bien simplement le désir d'arrêter, à vrai dire je ne sais pas vraiment laquelle de mes propositions est exacte mais cela me mena à retourner aux pieds de ma Maîtresse. J'avais les genoux à terre et la poitrine contre ces derniers lorsqu'ils m'apportèrent de nouveau mon bol rempli d'eau. Je commençais à laper car j'avais vraiment soif après ce dur épisode les mains liées en hauteur. Je commençai donc à boire lorsque R. enchaîna plusieurs coups de martinet contre mon dos. Cela commençait à être vraiment éprouvant... nous passâmes cependant rapidement dans la petite chambre contigu à cette salle de "torture".

Arrivés dans cette petite pièce, mes futurs Maîtres me traitèrent vraiment comme la dernière des chiennes, m'occupant constamment la bouche entre le sexe de l'un et de l'autre. R. m'offrit cependant une leçon en léchant lui-même I. Le spectacle fut vraiment très joli à regarder, d'autant plus que ma propriétaire est très belle sous la langue de son mari. Enfin après nous être gentiment amusés et quelques coups plus tard, j'eus enfin le droit au sexe de mon futur Maître... il me demanda alors de lui présenter mes fesses, ce que je fis de mon mieux en m'assurant de cambrer convenablement mes reins. C'est alors que sans même me préparer un instant, il me sodomisa sans ménagement. Quelques petites plaintes m'échappèrent et ma future Maîtresse me menaça de me donner des raisons pour cela. Lorsqu'elle me menaça, je fis d'ailleurs l'erreur de dire "non" tant je n'en pouvais plus et pourtant j'acceptai très rapidement sa décision car mon refus fut encore un moyen supplémentaire de donner à ma propriétaire l'envie de me corriger Je cessais donc de geindre et je me mis à me regarder dans la glace en face de moi. J'appréciais vraiment le spectacle, d'autant plus que j'avais dans la bouche la cravache qui m'avait punie auparavant. Il faut tout de même noter que R. avait commencé par dire qu'il ne ferait que me sodomiser... en fait j'en étais déjà très contente mais finalement, il eu la bonté de me baiser par le dernier qu'I. avait tenté de doigté lorsque R. me sodomisait. Mais comme j'y prenais manifestement trop de plaisir, quelques coups furent encore de rigueur. Pour finir ce délicieux épisode, j'eus le plaisir de voir ma future Maîtresse jouer avec le sexe de R. quelques instants. Je me rends compte que les regarder se caresser ainsi est vraiment quelque chose qui me plaît, m'intrigue et m'excite. Cependant, avant que I. n'aille caresser le sexe de son mari avec sa bouche, R. eu la judicieuse idée de me mettre à cette activité afin d'épargner à ma propriétaire tout éventuel désagrément lié à l'odeur du préservatif. Après tout c'est bien normal qu'une chienne rende les jeux de sa future Maîtresse les plus agréables possibles et je suis toujours très heureuse lorsque l'un ou l'autre de mes propriétaires me remplit la bouche. Toujours est-il que ce jour là, mon futur Maître m'a fait l'honneur de m'offrir son sperme un petit peu partout sur le visage et autour de la bouche,  cela devant pas mal de curieux qui nous regardaient à travers la glace... dire que je m'y étais admirée à quatre pattes avec la cravache de I. et R. dans la bouche sans même remarquer leur présence.

Pour clore le récit de cette rencontre, je tiens avant toute chose à remercier mes propriétaires I. et R. de me l'avoir fait vivre. Cette dernière aventure m'a confortée dans mes choix... celui de leur être exclusive et totalement offerte, ainsi que dans mon désir de leur être soumise pour le plus longtemps possible. Je suis aussi intimement persuadée que I. et R. pourront être d'excellents Maîtres pour moi, à l'image de ce qu'ils ont été lors de cette dernière rencontre qui je l'espère ne sera pas la dernière. Pourvu qu'un jour je devienne pour eux une parfaite soumise à la hauteur de leurs désirs.

Leur esclave et chienne, E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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