Présentation

Vendredi 25 janvier 5 25 /01 /Jan 22:28

Voilà, mes partiels sont tous terminés... d'ailleurs retardé d'une semaine pour le dernier d'entre eux. Pour autant, je n'ai pas encore reçu de nouvelles suite à Leur dernier message. Pessimiste que je suis, j'en conclus que Leur désir de me revoir s'est très largement dissipé. Bien sûr, je peux me tromper, mais j'en doute. Peut-être aussi que j'ai peur d'être déçue à trop y croire, comme je l'ai été par le passé.

Cependant, si j'ai la conviction que ce ne sera pas pour tout de suite, Leur message m'offre aussi l'impression que rien n'est perdu. Je l'espère vivement en tout cas, surtout que sans Eux je me sens très seule, avec un grand vide dans ma vie. I. et R. me manquent profondément.

J'en arrive à avoir des idées vraiment tordues, à me dire qu'au point où j'en suis je pourrais presque essayer de Les espionner afin d'assouvir mon besoin de Les voir, mais aussi à abuser d'Eux sexuellement afin de remédier à un certain nombre de mes frustrations. Enfin, si cela me traverse l'esprit parfois, je n'en ferais évidemment rien. Disons que même si je souffre de Leur absence, je ne conçois pas pour autant de telles pratiques et cela encore moins vis-à-vis de mes Dieux.

Mais c'est quand même dur. Pour ne parler que d'hier, mon Propriétaire avait annoncé sur son forum où Il entendait passer la soirée. Donc ce qui est difficile à gérer pour moi, c'est de supporter le fait de ne pas y aller pour respecter ce que je pense être Leur volonté alors qu'en même temps j'en ai le coeur brisé.

Ce n'est de toute façon pas évident d'être totalement dingue de quelqu'un, à plus forte raison lorsqu'Ils sont deux, surtout que j'ai presque l'impression de peser rien qu'en Leur écrivant. Peut-être que si je cessais, je finirais pas Leur manquer, mais je suis loin d'être suffisamment téméraire pour prendre un tel risque. En plus Ils me manqueraient beaucoup trop... encore que je ne vois pas très bien comment Ils pourraient me manquer encore davantage tant cela atteint déjà des sommets.

La bonne nouvelle dans tout cela, c'est que je commence à m'éloigner d'une optique de faiblesse de ma part quant au fait que je ne cherche pas à brusquer la situation. Je crois que je n'ai simplement rien à faire de ce genre car cela reviendrait quelque part à chercher à Leur forcer la main. Or c'est normal que je ne le fasse pas, ce n'est après tout pas à moi de décider si oui ou non Leur souhait est de s'engager dans une relation avec moi. Mais je reconnais cependant que mon impuissance me déprime un peu.

Quoi qu'il en soit je verrai bien ce qui m'attends. Mais si je suis convaincue que mes Propriétaires ne souhaiteront finalement pas s'occuper de moi prochainement, il ne s'agit là que d'une impression et en aucune façon d'un défis pour essayer d'obtenir ce que je désire, Eux en l'occurrence.

Leur propriété

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
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Vendredi 18 janvier 5 18 /01 /Jan 23:53

Convocation pour l'épreuve du petit déjeuner le dimanche 20 janvier à 10 heures:

1) Rend toi désirable en prenant soin de t'épiler parfaitement, de te parfumer et de te maquiller.

2) Porte des dessous noirs avec notamment un porte-jarretelles et des bas.

3) Enfile une robe noire qui soit très près du corps ainsi qu'un petit tablier blanc.

4) Attache tes cheveux en un chignon assez strict.

5) Parfais ta tenue de soubrette par de hauts talons aiguilles noirs ainsi qu'une petite paire de gants.

6) Rend toi dans une boulangerie suffisamment proche de chez nous pour que les pâtisseries soient chaudes à ton arrivée. Tu es libre de les choisir mais tu seras corrigées si celles-ci nous paraissent trop refroidies. Du reste, si elles sont déjà froides lors de ton achat, tu n'en seras pas moins sévèrement punie.

7) Dépêche toi de venir chez nous. Mais sois silencieuse. La porte ne sera pas fermée et tu devras directement te rendre dans la cuisine pour nous préparer, sans bruit, un petit déjeuner digne de tes Propriétaires, qui ont la bonté de te convoquer.

8) A 10 heures, précisément, tu te présenteras avec un plateau devant notre chambre. Tu y rentreras discrètement puis tu déposeras notre petit déjeuner sur le lit en prenant garde à ne rien renverser... sinon tu sais ce qui t'attends!

9) Tu te placeras à genoux, avec les mains croisées dans le dos, pour attendre nos éventuelles demandes.

Ps: nous te laisserons la vaisselle à laver pour être sûrs que tu comprennes bien à quoi tu sers.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 18:38

N°1: Continuer à Leur être fidèle et à Les attendre sagement telle une gentille petite chienne docile. Là encore, quoi de plus aisé? Avec des Propriétaires aussi envoutants, je ne vois vraiment pas.

N°2: Me montrer la plus obéissante possible face aux éventuels ordres et demandes de mes chers Propriétaires. Je ne peux cependant que m'engager à faire de mon mieux dans la mesure où je pourrais très bien me retrouver totalement perdue et désarçonnée vis-à-vis d'un souhait de Leur part.

 

N°3: Si mes Propriétaires me font l'honneur de pouvoir laper Leur intimité, ou bien tout ce qu'Ils désirent d'autre, ne surtout pas ménager ma petite langue malgré tout le temps passée seule à s'engourdir dans ma bouche. Mais compte tenu du fait que je meure d'envie de lécher avidement tout ce que mes Propriétaires pourraient me présenter sous la langue, il n'y a rien de plus facile à tenir.

N°4: Peser tout au plus 55 kg le 31 décembre, mais avec une diminution très progressive et non un jeûne au tout dernier moment pour faire mine de m'être tenue à cette résolution. En somme, faire en sorte de ressembler à peu près à quelque chose de désirable.

N°5: Leur envoyer quelques petites photographies de moi de temps à autre, ne serait-ce qu'une tous les deux mois, afin de Leur montrer que je respecte effectivement ma résolution N°4 et cela même s'Ils n'éprouvent pas le désir me voir.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mon quotidien
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 15:26

Lors de ma dernière lecture de mes bonnes résolutions pour 2007, j'ai remarqué agréablement qu'il n'y en avait pas une que je n'aurais pas respectée. En même temps, un an après les avoir rédigées, je suis obligée de me rendre à l'évidence quant à la facilité voire même au strict minimum que celles-ci représentent. Il s'agissait pour l'essentiel de m'engager à Les attendre et à Leur faire confiance... il n'y avait en cela aucune difficulté. Après tout, il n'y a rien de plus naturel comme comportement à l'égard de Propriétaires auxquels on tient et qu'on admire.

Cependant, j'ai commis une grave erreur, sur la durée qui plus est, qui a été de me laisser aller et de ne faire attention à mon physique que par intermittence. Le résultat est aujourd'hui assez désastreux et semble en totale contradiction avec ma vision de la soumise idéale. En effet, je m'imagine dans tous mes fantasmes avec près de 20 kilos de moins, ce qui souligne combien je suis loin de l'image que j'aimerais Leur offrir. En outre, je m'étais déjà engagée à maigrir et je n'y suis encore pas parvenue. Pour cela je n'ai pas d'excuse ni même d'explication qui soit à peu près cohérente.

En somme, cette année je n'ai rien accompli de difficile. Je suis vraiment restée dans une certaine facilité qui me semble honteuse, surtout que maintenant qu'une possible rencontre devient imminente je suis vraiment face à cette contradiction que mes Propriétaires n'auraient en aucune façon pu ne pas relever tant elle est flagrante.

Aussi ai-je très peur que si cette rencontre ( que j'ai profondément espérée ) se concrétise, que mes Propriétaires ne souhaitent plus jamais me revoir à cause de cette faute qui en plus a le démérite de ne pas mettre en valeur mon tatouage.

Donc pour ce qui est de mon sentiment quant à cette année, je pense qu'il aurait globalement pu être assez positif si je n'avais pas encore fait n'importe quoi avec mon poids.

Enfin, pour ce qui est de mon ressenti quant à cette année d'attente, je peux encore dire que mon moral a été très fluctuant avec un désir toujours aussi fort de Les retrouver mais aussi de très pénibles moments de doutes et d'inquiétudes quant à l'incertitude de mon futur avec Eux.

Du reste, j'espère très vivement que cette nouvelle année sera plus riche pour notre relation que la précédente. Aussi je crois qu'il faudra que je m'y investisse encore davantage, y compris au quotidien face à mes désirs frénétiques de nourriture qui sont clairement, pour moi tout du moins, en contradiction avec les contraintes que devrait respecter une soumise digne de ce nom, ce que je désire toujours aussi sincèrement devenir.

Leur propriété

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 22:32

Après avoir passé six mois et demi sans la moindre nouvelle de mes Propriétaires, hier j'ai reçu ce précieux message qui selon moi trouve tout à fait sa place dans mon journal.

Bonjour Elodie,

Nous avons été très absents ces derniers mois, nous ne t'avons pas écrit pour ton bac (mais c'était la moindre des choses que tu l'ais n'est-ce pas), ni pour aucun autre évènement ou signe de ta part (comme les différents présents reçus chez nous). Ce silence nous ne lui trouverons aucune excuse, car il ne fut motivé que par une très bonne raison : nous n'avions pas envie de te voir. C'est peut être cruel mais à quoi bon te mentir, ou nous cacher derrière un quotidien très prenant certes, mais qui n'est pas exclusivement la raison de notre disparition.

Cela dit nous avons quand même lu ton journal, et nous trouvons que ta persévérance mérite un peu de notre attention.

Ces derniers jours le sujet de ta petite personne est revenu dans notre couple. Un désir possible de jouer un peu avec toi se fait ressentir. Pour le moment il ne s'agit que d'une rencontre possible pour t'utiliser un peu, puisque c'est ce que tu réclames. Point d'engagement hâtif, de promesses de seconde fois, ou de quelconque régularité. Point de dialogue sur le passé
non plus.
Le but est de s’amuser, et de faire progresser tes écrits vers des choses concrètes ce qui changera des fantasmes ou des complaintes.

Nous avons cru comprendre que tu avais des examens début janvier, cela pourra donc éventuellement avoir lieu ensuite.

Nous te rappelons que nous n'évoquons ici qu'un désir, qui peut subsister, ou de nouveau disparaître, ce mail n'est en aucun cas une promesse.

Nous te souhaitons de bonnes fêtes de fin d'année, même si Noël est derrière.

A bientôt probablement...

I. et R.

Bien sûr, les mots tant espérés de mes Propriétaires ne sont pas restés sans réponse, aussi voilà une partie de celle que je Leur ai envoyé hier suite à la découverte de ce cadeau dans mes mails.

Bonsoir Vous deux,

[...] je pense que Vous devinez combien je suis heureuse d'avoir la chance de Vous lire aujourd'hui.

Pour commencer à Vous répondre, j'aimerais Vous dire que rien ne Vous oblige à m'expliquer Votre silence. C'est bien sûr gentil de l'avoir fait, mais je ne considère vraiment pas cela comme un dû. Je ne pense pas que mes Propriétaires aient de compte à me rendre [...]. Naturellement, je me doutais quand même que Votre silence envers moi était motivé par Votre absence de désir. Certes ce n'est pas très flatteur pour moi qui Vous désire plus que tout, mais l'espoir, malgré ses hauts et ses bas, fait vivre. Votre message est d'ailleurs un très beau cadeau que Vous me faites, qui me redonne le moral et du courage. Pour moi Vos mots sont très précieux, et même si rien ne s'est concrétisé depuis tout ce temps, Vos messages me sont d'un grand soutien et m'aident à croire qu'un jour nous nous retrouverons de nouveau tous les trois.

D'autre part, j'ai envie de Vous dire merci, merci de lire mon journal. Je suis vraiment contente de l'apprendre, car si certains journaux me semblent vraiment racoleurs, le miens ne cible que deux lecteurs, Vous deux bien entendu. Mais je reconnais que mon journal reste loin d'être parfait et que je pourrais probablement en améliorer le contenu et cela même sans rien de concret. Cependant, j'avais une nette préférence pour la vocation que Vous aviez donné à mon journal au tout début, c'est-à-dire d'y relater notre histoire et notre relation. Y compris pour ce qui est de mes désirs, il va sans dire qu'il m'est plus difficile d'évoquer tel ou tel fantasme alors qu'ils me paressent totalement décalés avec ce qu'il en est de notre relation. Aussi le désir de Vous retrouver y figure souvent. Néanmoins, si je me borne presque toujours à ce désir de "façade", je ne souhaite pas pour autant Vous revoir uniquement pour Vous revoir, sans peser les conséquences qui accompagneraient Votre retour dans ma vie. Alors en effet, nous revoir, ne serait-ce qu'une fois, alimenterait profondément mon journal. Mais ce n'est pas le premier plaisir que j'y trouverais. Vous imaginez bien que je n'ai pas attendu un an et demi uniquement pour pouvoir écrire un beau journal, encore que Vous offrir un journal présentable me ferait très plaisir.

Alors évidemment, je rêve de Vous revoir et Votre message m'apporte une énorme lueur d'espoir.
Mais je Vous prie de m'excuser de ne pas me réjouir trop vite. Disons qu'il y a deux choses. Mon plaisir de recevoir Vos mots est bien présent et je peux même Vous dire qu'ils me rendent très heureuse. En revanche, le fait de nous revoir peut-être prochainement me fait irrésistiblement envie mais je sais qu'en fin de compte Vous avez le pouvoir de me priver de Vous deux. Donc si mon bonheur n'est pas parfaitement complet, c'est parce que je ne peux pas savoir où en seront Vos désirs pour moi d'ici quelques semaines. D'ailleurs, Vous me confirmez Vous-même que si Votre désir peut subsister, celui-ci peut pareillement disparaître.

Effectivement mes espoirs sont nombreux, le premier étant que cette rencontre ait vraiment lieu. Mais ce n'est pas le plus important car si par bonheur Vous décidiez de me convoquer, je sais qu'il me resterait alors tout à faire pour Vous donner encore envie de me revoir. Certes, ne tient qu'à moi d'y parvenir si Vous m'offrez cette dernière chance, mais je ne voudrais surtout pas la gâcher. Car effectivement, comme Vous avez déjà pu le constater, il m'arrive ( souvent ) d'être catastrophique et cela en dépit de ma bonne volonté. C'est pourquoi j'espère que je serai capable de me tenir convenablement et que mes actes corroboreront mes mots. Je suppose aussi que Vous présenter mes craintes maintenant n'est pas le moment idéal. Cependant, face à l'imminence de cette éventuelle rencontre, je ne peux pas prétendre être absolument certaine que je serai parfaite. En même temps, n'étant pas encore dressée, je présume que c'est assez normal. Mais j'ai peur que l'ampleur de la tâche Vous paresse si grande que j'y perde finalement le dernier soupçon d'intérêt que Vous avez encore la bonté de m'accorder.

Il y a cependant un point positif, qui fait que je me permets de Vous écrire depuis tout ce temps, à savoir que je suis entièrement sincère quand à ma volonté de Vous appartenir et par conséquent je suis prête à fournir de vrais efforts, outre le plaisir, pour devenir vraiment Votre soumise.

J'admets que nous n'en sommes pas là, que Vous ne me proposez pas de le devenir. Toutefois je pense que Vous comprenez ce que je veux dire, que même si ce rendez-vous arrive, je veux absolument faire en sorte qu'il ne soit pas unique.

Mais sachez que même si j'ai peur qu'au bout du compte ce premier rendez-vous n'ait pas lieu, je le désire, je le désire très fort. En fait, une partie de moi a vraiment hâte que cela arrive et s'en délecte par avance, mais il y en a effectivement une autre qui restreint mon bonheur à l'idée de Vous revoir puisque finalement rien n'est moins sûr.

Enfin inutile de me torturer, ma situation est très simple puisque je n'ai qu'à obéir. De plus, puisque je suis incorrigible, je peux me permettre de Vous dire qu'être utilisée par Vos soins me fait très très très envie, mais je présume que Vous le savez déjà puisque Vous m'écrivez Vous-même que c'est ce que je réclame.

Du reste, je vais espérer ardemment que d'ici quelques semaines Vous éprouverez toujours ce désir de jouer avec moi et que si par bonheur tel est le cas, que je parviendrai à répondre à Vos attentes.

Enfin pour finir de Vous répondre, j'ai effectivement des épreuves au mois de janvier, la dernière se déroulant le vendredi 18. Pourvu que d'ici là Vous souhaitiez encore me voir. De mon côté, inutile de dire que la présence de mon désir pour Vous à ce moment-là est une certitude absolue.

Je vais Vous laisser, mais je souhaite Vous remercier avant cela d'avoir pris le temps de m'écrire et Vous dire que quoi que Vous décidiez par la suite, ce message a beaucoup de valeur pour moi [...].


Pour finir, avec cet insignifiant recul d'une journée, je peux dire que je suis toute excitée à l'idée de Les revoir peut-être enfin. Je prie pour que cette rencontre se fasse et de surcroit pour qu'elle se passe au mieux. Mais outre ce profond désir de Les retrouver, je dois ajouter que ce message en lui-même est déjà un présent que je reçois avec grand plaisir et reconnaissance.

Aussi je souhaite Les remercier encore, mais aussi Leur dire combien je Les adore, Les vénère et Les admire.

Leur propriété                                 

Par Votre Soumise - Publié dans : Messages de mes Propriétaires
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Mardi 25 décembre 2 25 /12 /Déc 02:26

Lors de cette soirée du réveillon, j'ai fait la connaissance d'une jeune femme délicieuse. Lors de son arrivée, j'étais sagement assise dans un canapé. Puis je l'ai vue, très grande, brune, avec des jambes qui comme celles de ma Maîtresse n'en finissaient pas. Bien sûr, nul n'arrive à la cheville de mes Propriétaires, mais à défaut de Leur véritable présence, la compagnie d'une femme qui physiquement ressemble à ma Maîtresse ne m'a pas laissée indifférente, loin de là, en témoigne mon string qui a fait les frais de mon ébauche d'excitation. Mais naturellement, je n'avais rien à faire de cette jeune femme en soi, c'était uniquement cette ressemblance qui m'a fait frémir dès son apparition dans mon champ de vision. Toutefois mon impression est assez mitigée, car si j'ai apprécié la présence de cette pâle imitation de ma charmante Propriétaire à moi, je n'en suis pas moins frustrée voire déçue car ce n'était pas vraiment Elle.

Donc finalement, au beau milieu de cette nuit de Noël, je pense encore très fort à Eux. D'ailleurs, si mes Propriétaires ne me manquaient pas, je crois que je n'aurais pas perçue cette ressemblance qui après-coup me semble plutôt tirée par les cheveux.

Leur propriété

Par Votre Soumise - Publié dans : Mon quotidien
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Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 00:27

Le 13, cela faisait précisément 6 mois que mes Propriétaires ne m'avaient pas écrit. Bien sûr cela n'a pas changé depuis. En fait, je n'y avais même pas fait attention. C'est seulement là, lorsque je Leur écrivais un message en inondant mon clavier de mes larmes, que je me suis demandé ce qui n'allait encore pas. Alors c'est ce qui m'est venu à l'esprit. Mais je ne sais pas quoi en penser. Dire que je suis complètement perdue me semble être l'évidence première. En dehors de cela, juste un désespoir certain et la même intérogation récurrente: " reviendront-Ils un jour". Sans doute pas. Mais je ne sais plus quoi faire d'autres que Les attendre. Ce n'est cependant pas devenu une véritable habitude ni même un mode de vie qui finit par se fondre dans le quotidien. Ma douleur, profonde et sincère, ne cesse de me tirailler. Réelle et trop présente pour me laisser croire que je ne Les attends plus pour de bonnes raisons. Sauf que l'attente, à Leurs yeux, a probablement perdu de son sens. Au début, I. et R. prenaient encore quelque peu soin de moi, m'écrivant parfois et restant présent à temps très partiel. Or mes Propriétaires sont devenus aussi absents que de vieux fantômes du passé, aussi distants et inaccessibles que ma mamie décédée mais que telle une enfant j'aimerais revoir pour Noël. Outre mes Propriétaires, notre relation elle-même m'échappe totalement. Telle que je me raconte ici, dans mon journal, je ne ressemble en rien à une soumise. Ce n'est pourtant pas faute de le désirer, mais je ne peux pas lutter davantage... ce silence m'épuise.

e. 

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Mardi 11 décembre 2 11 /12 /Déc 11:36

Encore secouée par le plaisir de recevoir le précieux jus de mon Maître, je L'aperçois qui cherche quelque chose dans le sac de ma Maîtresse. Rapidement, il y saisit la laisse puis me relève légèrement en m'attirant à Lui par l'anneau de mon collier.

Stupéfaite, je constate que nous sommes en pleine cambrousse, dans une sorte de coupe-gorge forestier. Mais malgré la peur, je me laisse docilement faire, comme si ce petit bout de cuir pouvait m'être protecteur.

Aussitôt faite "prisonnière", mon Propriétaire me fait descendre de la voiture... je me retrouve alors juste en face de ma charmante dominatrice, qui avec Ses cuissardes moulants Ses jambes qui n'en finissent pas, me donne l'impression de n'être qu'une petite chose qui bientôt serait Sa victime.

Mais au lieu de cela, elle entoure mes hanches de Ses bras pour m'offrir la douceur et la moiteur de Sa langue contre ma bouche, que je laisse forcer avec le plus grand délice. Je sens Ses mains se balader délicatement sur la courbure de mes reins.

D'autres autres mains viennent alors rejoindre celles de ma Maîtresse. L'une réchauffant l'un de mes Seins outrageusement découvert par mon corset que mon manteau ouvert ne parvient pas à dissimuler. L'autre s'entremêlant avec celles qui parcouraient déjà le plus bas de mon dos.

Les lèvres de ma belle I. abandonne alors Les miennes pour recouvrir celles de mon Propriétaire, qui Lui-même entraîne mon visage contre les superbes seins de ma Maîtresse. Appliquée, je Les embrasse et les caresses, quoi qu'assez perturbée par le ballet de Leurs mains qui s'agitent sur mon corps.

En effet, Leurs mains se font plus vicieuses. La main de mon Propriétaire ayant rejoint mon ventre, le caressant en s'approchant de plus en plus de mon sexe humide, s'en écartant ensuite en dépit de mes ondulations incitatrices.

Mais pour ce qui est des trois autres, celles-ci se montrent bien plus franches, certaines me griffant douloureusement le dos, sans doute jusqu'au sang, d'autres s'insinuant dangereusement vers ce que mes fesses s'évertuent à cacher.

Je sens soudain quelque chose de particulièrement épais qui cherche à enfoncer cet accès. Cependant, malgré l'attention que mes Propriétaires me portent, mon intimité se montre fort peu conciliante quant à la réception de ce qui me semblait être quelques doigts de mon Maître et de ma Maîtresse réunis.

Elle s'adresse alors à moi, " ouvre-toi petite pute, fais honneur à ton tatouage".

Confronté à un tel argument, mon corps réagit comme s'il ne dépendait plus vraiment de moi, s'offrant presque instinctivement à Ceux auxquels il appartient. Soumise, je n'en ressens pourtant pas moins la vive douleur de ce qui s'insinue cruellement au plus profond de mes fesses.

Mais c'est entourée d'Eux deux que je subis ce petit supplice, rendu d'ailleurs très supportable par Les caresses de Mon Maître et par la douceur de ma Maîtresse m'étouffant contre sa poitrine.

Le délice ayant enfin pris le dessus sur la souffrance, je n'en profite que quelques courts instants avant le volume de ce qui me pénètre ne diminue. Mais là, assez écoeurée, je vois ma Maîtresse qui me porte de Ses doigts à la bouche.

Remarquant ma mine décontenancée, Elle ajoute d'un air satisfait et supérieur, " lèche les biens! D'abord tu vas nettoyer les miens, ensuite tu me préviendras quand ce sera parfait et t'occuperas de ceux de ton Maître".

Bien entendu, je m'exécute sans plus tarder, ressentant en même temps l'aisance des doigts qui abusent encore de mon intimité.

Lapant méticuleusement les doigts de ma Maîtresse, je me montre assez zélée avant de L'avertir que les doigts de mon Propriétaire peuvent maintenant prendre place dans ma bouche.

M'affairant à la propreté des doigts de mon Maître, je m'efforce de contenir le léger dégoût si bien instruit durant l'enfance.

Enfin, je Les entends échanger quelques mots, s'amusant du retard que nous avions ainsi pris.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 15:07

A mon sourire, ma Maîtresse s'aperçoit que je sais à qui appartiennent les mains qui m'étranglent tendrement. Mais j'adore ça... sans doute un peu trop... car Il s'arrête avant même que je ne puisse commencer à protester. Quel dommage...

Alors mon Propriétaire s'approche d'Elle. Je Les entends s'échanger quelques mots à l'oreille. Mais quoi? Je ne suis pas sûre de comprendre... ou plutôt certaine d'avoir rien compris. Qu'importe, je suppose que je saurai très bientôt ce que j'ai à savoir... mais je commence tout de même à avoir un noeud au ventre. Qu'est-ce que nous pouvons bien faire là? Loin de tout.

Les chuchotements finis, voilà qu'Ils s'embrassent... Est-ce le résultat d'une idée machiavélique qui Les excitent ainsi? Je ne sais pas, mais je donnerais cher pour pouvoir me joindre à Eux. Sauf que je sens que ce n'est pas le moment, donc je me contente de me délecter en Les observant."

" Chéri, regarde moi cette salope! Il ne manque plus que la langue tirée pour qu'Elle puisse être une véritable chienne."

Gênée, je baisse de nouveau les yeux, ainsi que la tête pour mieux dissimuler mon air confus.

" En effet, mais nous ne tarderons pas à Lui montrer ce qu'elle est vraiment."

Il s'installe alors derrière nous puis I. démarre, nous quittons enfin cette rue austère. Tant mieux, j'avais trop peur qu'Ils m'emmènent vers le terrain vague sordide que j'avais aperçu. Même s'Ils ont du goût, je Les sais quand même prêt à tout pour me soumettre et m'humilier.

" Alors petite pute, ça ne te dérange pas de poser tes fesses à ma place?"

" Je suis désolée, je pensais que..." Il m'interrompt.

" Viens tout de suite derrière! J'aurais préféré être à côté de ma douce mais je peux quand même te faire payer de m'en avoir empêché..." Je Le regarde alors, manifestement fautive.

" Qu'est-ce que tu attends?!?" surenchérit-Elle l'air malicieux.

Je réalise alors que ma Maîtresse avait fait exprès de me laisser monter là... mais je m'active, essayant tant bien que mal de baisser ma jupe trop courte pour dissimuler mon postérieur aux voitures d'en face.

" Inutile de te fatiguer, ajouta-t-elle, une fois sur ton Maître tu ne risqueras pas de les cacher à qui que ce soit."

A peine passée derrière, mon Propriétaire glisse un doigt dans l'anneau de mon collier pour m'entraîner vers Lui. Quoi qu'un peu surprise, je me laisse guider. Une fois installée sur Ses genoux, La prédiction d'I se confirme.

Je Le sens alors qui me caresse délicatement... Ses mains sont douces, un vrai bonheur... que je ne pense pas avoir mérité. Mais après quelques instants, "aie", il n'y a plus de doute. Une première fessée vient de s'abattre, suivie de quelques autres, et encore beaucoup d'autres entrecoupées par quelques douceurs aussi sournoises que délicieuses. Puis plus rien. J'attends les suivantes, un peu inquiète. Mais au lieu de ça je Les entends parler de moi.

" Chérie, tu ne trouves pas qu'elle a grossi?"

" On dirait bien! D'ailleurs elle se dandine encore plus que d'habitude."

" En effet, c'est vraiment lamentable!."

Ce que j'ai honte... C'est vrai que j'ai pris du poids, mais je ne gigote pas beaucoup? Sûrement que si, mais j'ai vraiment mal. En plein brouillon intérieur, je me laisse surprendre par de nouvelles caresses. Je me détends cependant, devinant tout de même qu'il ne s'agit que du calme avant la tempête.

" Chéri, ce type n'arrête pas de nous reluquer... j'ai l'impression qu'il est en train de se branler..."

Quelle horeur! Je réalise que le nez enfoui sur la banquette arrière, si moi je ne vois rien, mon cul est bel et bien offert à la vue de tous.

" Cela dit, vu comme tu l'as bien rougie, il aurait tort de se gêner."

Comment le sait-Elle alors que je n'en ai pas la moindre idée? Je jette un coup d'oeil furtif... évidemment, le rétroviseur est rivé sur mon Propriétaire et moi.

" Enfin si ce pauvre type veut du spectacle, je vais plutôt lui offrir celui de la huitième merveille du monde..."

Un plaisir intérieur m'anime alors à l'idée de bientôt profiter de Sa queue, qui bien sûr est la merveille dont il s'agit ( sauf que moi, je la placerais en bien meilleure position du classement). Je le sens alors me tirer par les cheveux pour me mettre à quatre pattes.

" Mieux que ça, traînée, cambre toi bien!" ajouta ma Propriétaire.

J'obéis instantanément, me cassant le dos pour Leur être agréable.

" C'est bien petite pute! Maintenant viens me sucer", dit-il en me présentant sa queue raidie.

Je m'empresse alors d'approcher ma langue de cette partie de Lui que j'affectionne tout particulièrement. Aucun millimètre ne m'échappe, ma bouche est trop avide de ce précieux totem, qui pour être le seul que j'aime est nécessairement mon préféré. Je savoure donc cette merveille, la titillant et la léchouillant voluptueusement. Mais ma symbiose est tout à coup perturbée car je me rends compte que Leur conversation est en train de me concerner.

" Ma douce, qu'est-ce qu'on fait si on croise la police?"

" On peut toujours la prêter pour les laisser en faire ce qu'ils souhaitent!"

" Bonne idée, mais cette pute serait fichue d'aimer se prendre des matraques dans tous les trous."

Je fais mine de n'avoir rien entendu, mais mon Maître a vraisemblablement remarqué que l'espace d'un instant j'avais mis moins de coeur à le vénérer. Effectivement, Il m'empoigne par les cheveux et se met à me baiser brutalement la bouche, tout en me pinçant le nez pour s'assurer m'étouffer d'autant plus. Malmenée, j'entends cependant ma Maîtrese répliquer au bout de quelques instants.

" De toute façon nous sommes presque arrivés donc la question ne devrait pas se poser. D'ailleurs, petite chienne, je t'ordonne de faire jouir ton Maître avant que nous nous arrêtions."

Pourvu qu'Il soit coopératif, sinon je n'ose pas imaginer ma punition. Mais par "chance", je sens la pression sur mon visage qui diminue et la douleur de ma gorge qui s'apaise.

" Obéis à ta Maîtresse!"

Je me remets donc à l'oeuvre, telle une assoiffée espérant le plus précieux des jus. J'en ai vraiment trop envie, mais je sais que je suis très expressive à la manière dont je le vénère avec une volonté et une joie évidentes.

" Je veux que tu avales tout... n'en perds pas une goutte." 

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je réponds donc au souhait de ma Maîtresse en Lui servant au mieux de réceptacle.

" Chéri, nous y voilà justement. Tu veux bien la préparer pour sa ballade...."

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 20:31

La nuit tombe. Je Les attends en bas de chez Eux, gênée par mon accoutrement indécent. Eux sont encore en train de se préparer. Qu'importe, je préfère ne pas me faire attendre, sinon Ils pourraient refuser de moi. D'ailleurs, vu le temps que j'ai passé à me pomponner pour Eux, ce serait quand même bien dommage.

Cependant, vêtue comme je le suis, plantée sur un trotoir, les passants devaient se douter de ce qui m'attendait ce soir. Pourtant je n'en ai pas la moindre idée moi-même. C'est d'ailleurs ma faute si j'ai l'air d'une prostituée... est-ce que je suis allée trop loin? Vont-ils me trouver trop indécente? Suis-je sortable?

L'arrivée de Leur voiture, verte, met fin à mes tracasseries. Où est-il? Je ne vois que ma Maîtresse... pourquoi n'est-Il pas là? C'est louche... qu'est-ce qui m'attends?

Je garde mes questions pour moi, il vaut mieux. Vite, je me dépêche de pénétrer dans la voiture. Mais puisque Mon Maître n'est pas là, J'ouvre la portière avant. Est-ce que je fais bien? Sinon ma belle I. pourrait penser que je me crois dans un taxi?

Son "Monte petite pute!" achève de me convaincre. Je suis heureuse de La voir et je Lui sourie. Mais pourquoi me regarde-t-Elle ainsi? I. m'inspecte des yeux puis ponctue par c'est parfait, ton aspect est de circonstance". Le sourire désormais crispé, je La regarde quelque peu apeurée. Je sais qu'Elle devine mon inquiétude. Mais pour toute réponse, ma Maîtresse m'ordonne de baisser les yeux et d'attendre sagement.

J'obéis sans me faire prier davantage. Nous commençons à rouler, rouler, rouler... le temps me paraît long. Mais j'en profite, les yeux effectivement baissés, pour porter mon regard vers les jolies jambes de ma Maîtresse, sublimées par du tissu très fin que je supposais être des bas. J'en oublie à moitié l'absence de mon Propriétaire et profite pleinement de cette délicieuse présence féminine aux formes alléchantes...

Sans même que je m'en apperçoive, Elle entreprend de se garer. Moi, trop occupée à la savourer des yeux, je reviens à la réalité quand soudain je sens mes cheveux douloureusement tirés.

"Tu te moques de moi?" I. me tire définitivement de mes délires lorsqu'une gifle s'abat sur mes joues, puis deux, trois, quatre... je ne sais plus. "Tu crois que je ne t'ai pas vu?"... Un peu sonnée, je m'apprête  Lui présenter mes excuses. Mais je sens Sa main venir doucement m'attirer à Elle puis Sa langue s'insinuer dans ma bouche. Que c'est bon... J'en profite pour Lui montrer à quel point j'adore ça en l'embrassant avidement.

Je sens une de Ses mains contre ma cuisse, qui dévie doucement vers l'intérieur de celle-ci. Mais je suis trempée, je le sais, je le sens... pourvu qu'Elle n'insiste pas. Que va-t-Elle me dire en me découvrant dans cet état? Je ne sais pas, j'ai quand même envie de le savoir, mais...

"Laisse-toi faire" me dit-elle souriante. Heureuse, je me permets de l'embrasser de nouveau. Mais sèchement, ma Maîtresse me repousse.

"Ecarte tes cuisses" me dit-Elle alors. C'est encore pire, je me sens plus humide que je ne l'étais déjà. Je Les écarte quand même, quoique très gênée car la rue n'est pas particulièrement déserte. Si on nous voyait... deux jeunes femmes toutes seules dans la nuit, c'est quand même risqué.

Mais c'est trop délicieux. Même si mon porte-jaretelles est exposé à la vue des passants, quelle importance? Je suis avec ma Maîtresse et Elle s'occupe de moi, que demander de plus? Un second!?! Le premier me suffisait pourtant, mais là je danse presque au bout de Ses doigts. Je me sens si bien, si "remplie" de tendresse par ma jolie Propriétaire. Je ne veux surtout pas que cela se termine. Que Ses doigts ne s'échappent plus jamais de moi.

Il fait froid tout à coup. La porte derrière moi vient de s'ouvrir. Je frémis tant par la peur que par le plaisir. Ma Maîtresse ne me laisse pas la possibilité de me retourner que je sens déjà des mains qui enserrent ma gorge.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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