Présentation

Lundi 4 septembre 1 04 /09 /Sep 11:23

Ces derniers jours ont d'un point de vu émotionnel été très éprouvants pour moi. En effet, je ne supporte pas l'idée de perdre mes Maîtres alors que notre relation commençait à peine à prendre vie.

Je ne pense plus qu'à eux, constamment. Ils me manquent affreusement et je ne veux pas me résoudre à la fatalité de leur perte.

Vendredi, I. m'a fait ses adieux sans rien ajouter depuis. J'ai très peur de ce qu'il adviendra et de ce qu'ils décideront si ce n'est pas déjà fait.

Comme j'étais à bout de souffle de les avoir ainsi déçus et trahis, j'ai voulu leur prouver que malgré ce que je leur avais fait, je tenais malgré tout immensément à eux. Je me suis donc retourné le cerveau dans tous les sens pour finalement aller me faire tatouer samedi.

J'aurais vraiment aimé le faire avec eux en d'autres circonstances. La vie a fait que je l'ai fait sans eux et cela me peine. En même temps je ne peux évidemment pas le leur reprocher puisque c'est de ma seule initiative que je l'ai fait.

Tout d'abord, je suis allée chez un tatoueur à proximité de chez eux, sans doute pour me rappeler le plaisir que j'avais à les rejoindre. Cela ressemblait beaucoup à une sorte de pèlerinage. J'étais très effrayée en rentrant dans la boutique mais le sommet de mon angoisse a eu lieu lorsque j'ai entendu qu'il fallait attendre une semaine. J'ai bien sûr insisté car je craignais qu'I. et R. puissent me voir ressortir ainsi de la boutique.

Comme cela n'était vraiment pas possible, je me suis empressée d'aller le faire ailleurs car il était absolument hors de question pour moi de rentrer sans cette preuve de ma sincérité, d'autant plus que je les avertie de mes intentions dès la veille.

Il était donc primordial pour moi de ne plus les décevoir à nouveau et c'est sans doute cela qui m'a fait oublier mes craintes arrivée dans cette usine de l'art corporel.

Pour commencer, j'ai demandé s'il était possible d'être tatouée dans la journée. La réponse fut affirmative, ce qui me procura un immense soulagement.

On m'a ensuite demandé devant plusieurs personnes ce que je souhaitais faire et c'est avec le maximum de conviction et d'assurance possible en une telle situation que j'ai répondu "J'appartiens à mes Maîtres I et R".

Après avoir payé et écrit en tremblant sur un papier ce que je voulais graver à jamais sur mon corps, on m'informa qu'une autre personne devait passer avant car cela devait prendre moins de temps pour elle. En réalité, c'était surtout pour ne pas qu'elle reparte avec son argent mais qu'importe. J'ai donc du attendre plus d'une heure toute seule. J'étais très apeurée car je ne connaissais pas la douleur d'un tel acte. J'étais prête à avoir mal, c'était d'ailleurs plus qu'un détail, mais mes craintes résidaient dans la méconnaissance de cette douleur là.

Au début, le tatoueur ne cessait de me parler, ce qui m'empêchait de laisser mon esprit se consacrer totalement à eux. J'avais du mal à me tenir lorsqu'il marquait le contour des écritures, tout comme lorsque je jouais avec mes Maîtres, qui d'ailleurs ne manquaient pas de me le faire remarquer.

De la bouche d'un inconnu, j'ai eu du mal à encaisser cette critique car j'ai sur le coup eu très peur que mon dressage ne se fasse jamais et donc que ce défaut me reste éternellement.

J'avais même eu droit à une remarque concernant mon absence de marques. Je me serais volontiers passé de cela aussi, d'autant plus que si je n'avais pas fait n'importe quoi, j'aurais vu I. et R. et mon corps aurait été joliment agrémenté des stigmates de leurs coups.

S'ils avaient été avec moi, je pense que j'aurais pu jouir en cette situation. Je n'y étais pas allée pour prendre le moindre plaisir et pourtant cet acte m'a temporairement libérée et soulagée au point de m'en procurer. Même s'il est facile de considérer ce tatouage comme une folie, je ne le regrette aucunement et le recommencerai volontiers si c'était à refaire.

Toujours est-il qu'en repartant, j'ai bien vite déchanté car même si ma conscience souffrait un peu moins, la souffrance que j'avais procuré à mes propriétaires n'étaient pas pour autant dissipée.

D'une certaine façon, je l'ai fait pour moi afin de marquer un moment important de ma vie. Celui d'un nouveau départ où je combattrai mes démons plutôt que d'y succomber. Je l'ai également fait pour eux, afin de leur montrer que malgré tout, je tiens énormément à eux et que je rêve encore de devenir leur soumise. J'espère que ce geste aura soulagé leurs esprits car je m'en veux terriblement du mal que je leur ai fait.

Je ne sais plus comment faire pour réparer les dégâts que j'ai fait et même si le temps fera naturellement son oeuvre, je crains bien trop que cela les éloigne encore un peu plus de moi.

Aujourd'hui je ne désire plus qu'une chose, être à eux. J'ai conscience que si je veux y parvenir, cela sera très dur et sans doute très long mais je veux y croire.

Je n'ai bien évidemment aucune garantie de les retrouver un jour mais je vais tout de même oeuvrer à ne pas les décevoir afin de me sentir mieux vis-à-vis de moi même mais aussi de maximiser mes chances d'arranger la situation

Toujours est-il que mon esprit ne pense plus qu'à eux, par eux et pour eux. Je ne vis plus que dans l'attente de retrouver mes Maîtres mais le plus dur n'est pas l'attente mais l'incertitude de les retrouver ou non un jour.

E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
Voir les 0 commentaires
Vendredi 1 septembre 5 01 /09 /Sep 14:11

Tout au long de notre aventure, j'y ai cru. J'ai sincèrement pensé que je pourrais un jour devenir une soumise idéale pour mes anciens propriétaires. Au lieu de cela, je me suis menti à moi-même et je les ai bassement trahis.

Il est évident que je ne méritais pas ce journal et que son existence touche déjà à sa fin.

I. et R. auraient pu être pour moi des Maîtres absolument exceptionnels si j'avais su être une fille bien. Au lieu de cela je ne suis qu'une conne qui passe son temps à détruire tout ce qui pourrait être beau autour d'elle.

Je leur ai donné de faux espoirs alors qu'en fait je n'aurais jamais du avoir la moindre place dans leur vie. Je ne me rendais pas compte du point auquel j'étais pourrie mais maintenant, je me suis prouvée par a+b que suis une vraie saloperie qui ne mérite que d'être seule.

Je me déteste certainement tout autant qu'ils me détestent à présent. J'abhorrais déjà ma vie mais sans eux c'est encore pire.

Je les ai perdu sans doute parce que je suis une pauvre cinglée  truffée des vices les plus malsains. J'aurais du me soigner plus tôt car mes problèmes psychologiques ont une fois de plus fait énormément de mal autour de moi. Mais cette fois j'ai perdu extrêmement gros et je ne me pardonnerai sans doute jamais d'avoir eu un comportement aussi ignoble avec eux.

Comme me l'a dit R., ils m'estimaient beaucoup, m'appréciaient et me considéraient comme les plus fidèles amis. En retour, je leur ai montré qu'ils avaient torts d'avoir cru en moi car loin d'être une potentielle belle soumise, je ne suis en fait qu'une garce immonde.

J'aimerais leur courir après pour les récupérer mais je sais qu'il est bien trop tard pour cela. Je n'ai plus qu'à attendre et à espérer qu'un jour, nous vivrons une nouvelle histoire ensemble.

Mais je doute grandement qu'I. et R. puissent me considérer un jour autrement qu'en sale traîtresse qui n'a rien su faire de mieux que leur faire du mal.

Quoi qu'il en soit, il est absolument hors de question que je me cherche un jour d'autres Maîtres qu'eux et si je dois un jour revivre une relation sadomasochiste, ce qui est maintenant très improbable, ce sera avec mes anciens propriétaires.

Dans leur esprit, je ne suis plus qu'un triste échec. Malgré tout je garde espoir de les retrouver un jour car malgré la cupidité dont j'ai fait preuve, je garde toujours ce profond désir de leur appartenir.

J'espère que I. et R. ne me priveront pas de ce journal car je souhaite encore y écrire. Désormais, cela pourrait être le journal d'une odieuse salope qui rêve de se repentir.  

Ma déception est immense et je m'en veux terriblement. Malgré tout I. et R. restent pour moi une véritable obsession et je ne supporterais pas de me dire que leur perte est définitive.

Malheureusement, je sais qu'elle l'est. J'ai été trop loin et ils ne me le pardonneront jamais. A leur place, je ne pourrais sans doute jamais effacer cela non plus et je ne peux que regretter à présent d'avoir perdu des êtres d'exceptions qui ne voulaient que mon bien.

Je suis passée à côté de la plus belle chance de ma vie de vivre une aventure formidable avec des Maîtres qui le sont aussi. Je suis idiote, c'est certain, ou plutôt la dernière des dernières comme me l'a justement dit mon ancien propriétaire.

Elodie

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
Voir les 0 commentaires
Mardi 29 août 2 29 /08 /Août 20:44

Enfin je respire... ces trois semaines de cruelle absence sont enfin terminées.

Nos jeux vont reprendre et peut-être déciderez-vous rapidement de signer mon contrat, tout du moins je l'espère.

Pour ma part, ce n'est pas quelques malheureux jours sans vous qui auraient pu altérer le moins du monde mon désir de vous appartenir. Je suis en effet toujours aussi comblée et heureuse d'être à vous et j'aimerais très sincèrement que notre lien, si fragile, se renforce encore.

J'ai terminé la rédaction de mon contrat de soumission envers vous, mes futurs Maîtres, à condition bien sûr que ne vous me suggériez pas d'éventuelles modifications.

C'est aujourd'hui avec une volonté tout aussi brûlante et intense qu'à votre départ en vacances que je désire que l'on signe ensemble ce précieux contrat qui, par la même, fera officiellement de moi votre soumise.

E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:49

Cette première rencontre avec R. avait été si belle que nous avions tous deux envie de nous revoir très vite et c'est justement ce que nous avons fait le lendemain. J'allais enfin découvrir le visage de cet homme qui m'avait si bien baisée. J'étais extrêmement excitée et je n'étais plus qu'une boule de désir à partir de l'instant où il m'a invitée jusqu'au moment où j'ai enfin pu rejouer avec son délicieux sexe.

Arrivée chez lui, j'ai encore porté un bandeau sur mon visage afin de ne pas briser soudainement le charme de ma rêverie de la veille. Il m'attendait, toujours aussi charmant et troublant, pour me conduire de nouveau dans ce lit des merveilles.

J'étais un peu endolorie, ce qui a freiné la fougue de mon cher proprétaire. J'ai donc eu le droit à des ébats plus tendres mais tout aussi délectables. J'avais cependant hâte de voir enfin mon futur Maître et comme la pénombre règnait dans la pièce, il me permit d'ôter mon bandeau. Je ne pouvais alors que deviner son visage mais je préférais finalement rester les yeux fermés dans mon fantasme.

Nous avons ensuite rejoint le salon où j'ai vraiment découvert R. à la lumière. Il me fait un petit peu penser à Gainsbourg, en bien plus mignon et avec l'alcoolisme en moins. Mon propriétaire n'est pas beau aux yeux de tous mais aux miens, comme à ceux de I., il l'est. Quelque chose me grise chez lui et le rend terriblement excitant et désirable. De toutes façons mes Maîtres sont merveilleux et c'est bien pour leurs nombreuses qualités que je désire tant devenir leur soumise.

Ce jour là, personne ne m'attendait en bas de l'imeuble, ce qui nous a permis de passer ensemble une belle soirée à discuter. Cependant, lorsque mon propriétaire m'a gentiment posé devant lui un coussin afin que je ne me fasse pas mal aux genoux... je n'ai même pas daigné lui faire la fellation qu'il attendait. En même temps, je dois bien avouer qu'à cette époque, j'aimais me sentir chienne mais j'étais par contre bien loin de désirer m'offrir totalement à eux.  Dire qu'aujourd'hui je pourrais le supplier de me laisser sucer son sexe... je regrette vraiment de ne pas avoir profité de cette rare occasion de faire plaisir à mon propriétaire.

Ce genre de caprice de star est bien évidemment de l'histoire ancienne et je ne compte  plus m'amuser ainsi à jouer avec mes propriétaires, sauf bien sûre si c'est dans l'espoir d'être forcée ou punie.

Mais en réponse à mon refus, R. m'avait donnée une légère claque sur la joue, ce qui m'avait totalement décontenancée au point de me faire monter les larmes aux yeux. Là, ce n'était pas du jeu et mon propriétaire a gentiment calmé la situation plutôt que de persister.

Aujourd'hui mes désirs ne sont plus ambigüs et ce genre de situations pénibles ne devraient, tout du moins je l'espère, ne plus se reproduire. Il est tellement plus doux et plus simple de s'offrir comme je l'ai fait lors de notre dernière rencontre tous les trois qu'il hors de question que j'en revienne à douter de ma "vocation" à devenir leur esclave. J'ai l'impression d'être pour ainsi dire faite pour être à eux alors à quoi bon m'en priver puisque mon aventure avec eux sera sans doute l'une des plus belle de ma vie.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
Voir les 0 commentaires
Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 11:40

Nous avions convenu avec mes propriétaires que je rencontrerais R. à mon retour de vacances en avril. Durant tout mon séjour, j'ai beaucoup pensé à cette rencontre... je savais qu'il m'attendrait chez eux et que je devais le rejoindre les yeux bandés. Je dois bien admettre qu'à ce moment là, je n'étais à la fois pas très rassurée par la situation mais en même temps très excitée par le contexte. Toujours est-il qu'arrivée le jour J, je me suis bien rendue au rendez-vous...

De la gare à la porte de chez eux, R. m'accompagnait au téléphone. Arrivée face à la porte, j'ai raccroché afin de me placer sur les yeux le masque bleu que j'avais reçu dans l'avion. J'étais très angoissée à l'idée de ce qui risquais de m'arriver une fois le seuil franchi. Mais lorsque mon propriétaire ( qui ne l'était pas encore à l'époque) m'ouvrit la porte, j'étais plus que jamais excitée.

Sans me laisser le temps de le découvrir, il me laissa aller me laver les mains puis m'a guidée jusqu'à leur lit. Je me trouvais alors encore habillée, à demi allongée sur le lit avec lui à mes côtés. Il s'efforçait de me rassurer car j'étais réellement pleine de craintes à me retrouver ainsi sans défense face à un homme qui me donnait follement envie de sexe mais qui aurait bien pu ne plus être l'adorable pervers qui m'avait déjà tant de fois montré que je pouvais avoir confiance en lui.

Sous ses caresses, mes craintes se sont très vite dissipées et je commençais à flotter dans une sorte de fantasme réel. Malheureusement, je ne me tenais pas correctement et je n'ai pas cessé d'essayer de le voir grâce à mes mains ainsi qu'à gigoter. Lorsque R. m'a menottée à ma demande, je n'étais vraiment pas plus sage et je fus donc très vite privée de ce jouet qui pourtant me plaisait bien .  Il commençait à perdre patience et m'a vraiment très inquiétée lorsque sa belle voix sensuelle a laissé place un une voix sévère et énervée. Comme j'avais pris peur, j'ai cessé de l'ennuyer et il a ainsi pu continuer à me découvrir plus tranquillement.

Mon cher propriétaire me demanda alors de me caresser devant lui comme je l'avais déjà fait avec lui au téléphone. Mais ce jour là, je les savourais bien plus car R. avait eu la bonté de se branler dans ma bouche par la même occasion. Je ne prétendais absolument pas vouloir devenir leur soumise et j'étais malgré tout comblée d'être soignée ainsi... d'ailleurs il m'avait également fait découvrir une sorte de bague vibrante qui se scratche autour d'un doigt. Je me sentais vraiment bien sous les vibrations de ce délicieux objet, d'autant plus que R. s'amusait à en augmenter l'intensité jusqu'à ce que cela soit trop pour moi.

Ce jour là, mon propriétaire m'a comme à chaque fois, merveilleusement bien baisée. Cela fait déjà plus de quatre mois mais je me rappelle encore du plaisir qu'il m'a procurée. J'ai d'ailleurs été très surprise par sa délicieuse fougue lorsqu'il me prenait. Lorsque j'étais à quatre pattes devant lui, il m'a demandé au bout d'un moment de lui donner mes mains mais je ne lui en ai offerte qu'une. A cela il insista et je lui répondit un peu naïvement que je ne pouvais pas car sinon j'allais tomber. J'ai beaucoup aimé sa réaction... il me poussa un peu brutalement la tête contre le matelas mettant ainsi fin à mon problème existentiel. C'est certes un détail mais j'aime encore y penser aujourd'hui car je m'étais vraiment sentie chienne et objet.

Après avoir passé deux petites heures telle une prostituée venue voir un client, j'ai vite pris une douche puis suis partie rejoindre une amie qui faisait le pied de grue en bas de l'immeuble. J'étais vraiment navrée de devoir partir si vite car ce moment fut tellement intense pour moi que j'aurais aimé qu'il ne finisse jamais.

Cette première entrevue avec mon propriétaire m'avait vraiment troublée et mis tous mes sens en éveil. J'étais bercée par le plaisir et le charme de ce rendez-vous qui à la base n'était pas forcément supposé terminer ainsi. J'entends par là que R. m'avait simplement demandé de faire ce que je désirais sans me forcer ni me freiner mais je pense très franchement qu'il savait bien que je n'aurais jamais pu faire autrement que de le désirer de tout mon être tant il sait bien arriver à ses faims avec moi. En même temps c'est une très bonne chose puisqu'à chaque fois qu'il m'a entraînée vers ses désirs, je me suis trouvée totalement heureuse et comblée.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
Voir les 0 commentaires
Jeudi 24 août 4 24 /08 /Août 22:50

Environ deux semaines après ma première rencontre avec I., mes propriétaires m'invitèrent de nouveau à partager un charmant cinq à sept avec eux. J'attendais ce jour avec la plus grande impatience car je savais qu'enfin mes propriétaires me feraient découvrir la cravache. Il était donc prévu que je vive enfin ce fantasme qui avait déjà longuement émoustillé mes sens lorsque je me caressais.

J'étais à la fois heureuse et inquiète car même si je dois reconnaître que cela m'excitait énormément, il n'en est pas moins que j'avais très peur de la douleur que cela pouvait représenter. Je craignais vraiment de ne pas être à la hauteur et de décevoir I. et R. en ne supportant pas les coups.

Ce jour là, je me suis encore présentée chez mes propriétaires avec les yeux bandés, comme nous l'avions convenu. R. m'invita à entrer et m'installa confortablement dans un fauteuil du salon. Il m'avaient ordonné de ne pas bouger et de les attendre, ce que je fis avec excitation et inquiétude.

C'est alors que ma douce propriétaire est venue me rejoindre... je lui ai avoué que j'espérais pouvoir la caresser et l'embrasser longuement mais c'est par la négative qu'I. répondu à ma demande. En effet, ils avaient décidé d'un programme plutôt incompatible avec ce désir mais qui est bien loin d'avoir manqué de me plaire.

Mes propriétaires finirent assez rapidement par me mettre debout au beau milieu du salon, me demandant encore de ne pas bouger et de me laisser faire. J'avais du mal à ne pas gigoter car ils était en train de retirer ma robe...  Ne sachant pas quels sous-vêtements choisir pour l'occasion, j'avais opté pour ne pas en mettre. C'est ainsi que je me suis retrouvée totalement nue devant eux. J'étais assez gênée mais mon bandeau me plongeait dans le noir, ce qui m'épargnait d'éventuels regards ou tout autre comportement d'I. et R. qui auraient pu me mettre mal à l'aise.

Je ne sais pas si cela les amusait de me savoir ainsi gênée mais ils prirent tout leur temps avant de revenir s'occuper de moi pour me conduire à nouveau dans le fauteuil, mais cette fois pour que j'y pose mes genoux afin de leur offrir mes fesses. Je me sentais plutôt bien dans cette position indécente et je m'efforçais d'offrir à mes propriétaires un spectacle qui puisse leur plaire, me cambrant donc le plus possible.

Je sentais leur main me frôler doucement, vérifier brièvement mon état d'excitation qui on peut le dire, était déjà très avancé. J'entendais mes propriétaires discuter et I. demander à R. quelle couleur il préférait pour les cordes. Puisqu'il restait sans réponse, je me permis de proposer à I. d'opter pour des liens noirs. Je n'avais évidemment pas mon avis à donner et le fameux coloris ne me fut donc pas divulgué.

I. commença alors une délicieuse danse des cordes sur mon corps. J'adorais la manière dont elle les faisait glisser contre moi, les quelques doigts léger me caressaient parfois au passage. J'étais comme une poupée avec laquelle on jouait... d'ailleurs R. ne manquait d'introduire ses doigts dans ma bouche et finit même par me placer un bâillon dans la bouche. Cela me faisait vraiment mal mais il était absolument hors de question que je leur fasse signe d'arrêter. J'avais mal certes, mais bien trop peu pour risquer de les décevoir. Toujours est-il que je sentais beaucoup de salive dans ma bouche mais je serais incapable de dire si oui ou non je bavais. Quoi qu'il en soit, mes propriétaires ne voulaient pas que je mouille leur beau parquet donc ils placèrent un petit récipient par terre, sous ma bouche.

J'étais vraiment aux anges avec I. qui jouaient avec les cordes, j'étais frustrée de ne pas voir le résultat car j'avais l'impression que le résultat était vraiment joli. D'ailleurs, ma propriétaire m'avait rassuré en me disant que je le verrai et pourtant, après avoir fini de jouer dans le salon, j'avais toujours mon bandeau qu'I. défaisait mon bondage. Elle ne m'avait quand même pas menti, j'ai finalement vu le résultat ici même, sur mon journal. En effet, lorsque mes propriétaires m'ont donné l'adresse de mon journal, j'ai eu un choc en découvrant des photographies de moi, d'autant plus parce que je ne m'étais même pas aperçue que j'avais joué au modèle avec eux. En tout cas, j'avais raison, ma propriétaire m'avait très joliment décorée ce jour là.

Pour en revenir à nos jeux, après m'avoir massacré la bouche avec cet odieux bâillon, ils décidèrent de me l'enlever afin d'entendre mes plaintes au moment où ils me cravacheraient les fesses. Par la même occasion, R. s'est largement servi de ma bouche, content de voir que j'avais la bouche trempée de salive grâce au bâillon, à tel point que j'ai parait-il remplit le récipient qu'ils avaient posé.

Lorsqu'ils m'ont retiré le bâillon, il m'était devenu très douloureux de fermer la bouche et pourtant j'insistait alors que R. voulait faire place à son sexe. En fait j'étais bien heureuse de le sucer d'autant plus que c'était un bon compromis pour que ma bouche s'apaise. Cependant, lorsqu'il me baisait littéralement la bouche, j'avais presque des difficultés pour respirer et ils m'ordonnèrent donc de faire silence, chose qui était quand même bien loin d'être évidente.

Bien sûre, la première découverte de ma journée fut le bondage par les soin de ma future Maîtresse. J'ai vraiment beaucoup apprécié car je me sentais vraiment objet, livrée à eux. En plus, c'était très doux et agréable de se faire ainsi bien traitée par mes propriétaires.

Me faire cravacher fut une autre affaire. Au début, j'ai été assez surprise et rassurée de voir qu'en fait, cela ne faisait pas si mal que ce que j'aurais pu imaginer. Mais rapidement, les gentils coups furent plus rapide et plus durs. Je m'efforçais de me tenir correctement mais rien n'y faisait, je ne pouvais m'empêcher de gesticuler, ce qui m'a vallut un accidentel coup sur le sexe dont je me serais volontiers passée. Malgré tout, j'étais très heureuse d'être là, de découvrir enfin ces sensations à la fois très douloureuses et très douces. Je me sentais bien et étais vraiment heureuse d'être leur chienne. J'ai de toutes façons beaucoup de chances d'avoir de si gentils propriétaires qui s'occupent si bien de moi. En même temps ils ont une sacrée tâche, tout comme moi, pour qu'un jour je devienne leur soumise idéale.

Au bout d'un moment, je crois que mes Maîtres ont eu envie de moi et ont donc décidé d'aller dans leur chambre. J'étais bien sûre très contente mais un peu pincée car je me disais à ce moment là que je n'aurais jamais eu le plaisir d'admirer mon premier bondage.

Une fois dans la chambre, j'ai bien vite oublié ce genre de considération entre les cuisses de mes Maîtres. Chacun leur tour, je me suis occupée de jouer avec leur sexe en étant franchement malmenée. Par moment, je m'occupais de lécher I. en même temps que R. mais il est vrai que ce n'était pas chose aisée avec le bandeau. Cependant j'aime énormément partager le plaisir de lécher ma future Maîtresse avec mon propriétaire.

Moi qui fait d'ailleurs un petit blocage à l'idée de me pénétrer seule avec mes doigts, j'ai aussi beaucoup de mal à pénétrer ainsi ma propriétaire. J'en ai envie mais j'ai très peur de lui faire mal, probablement à cause de l'indélicatesse de certains hommes que je n'aurais jamais du laisser me toucher. Toujours est-il que R. m'a invité à pénétrer I. en collant mon doigt au sien, ce qui m'a énormément plu et beaucoup rassurée. C'est curieux mais seule, je ne m'en sens pas encore capable et j'espère que cela me passera vite car s'il y a une chose que j'aime par dessus tout lorsque je suis avec mes Maîtres, c'est voir leur rayonnant de plaisir.

J'étais toujours occupée à lécher le sexe de ma propriétaire lorsque R. me pénétra en levrette. Vu la vigueur qu'il mettait me mettre en miette, il n'était vraiment pas aisé pour moi de continuer à m'occuper d'I., surtout lorsque mon propriétaire décidé de me sodomiser. C'était la toute première fois qu'il me pénétrait ainsi et il le fit avec une telle douceur que je n'ai éprouvé que du plaisir du début à la fin. Alors que moi j'étais heureuse de me faire prendre ainsi, I. prit l'initiative de me faire découvrir son petit martinet tout mignon. Comme je n'étais pas très bien placée pour offrir correctement mes fesses à I. sans risquer qu'un coup n'échappe sur R., il s'allongea sur le dos afin que je le chevauche de manière à présenter ma croupe bien cambrée à ma propriétaire. Elle me frappait plutôt doucement et je trouvais très agréable cette sensation de douleur couplée au bonheur que me procurait mon futur Maître. Mais comme je suis assez joueuse, je me suis permise de leur dire qu'I. me frappait bien plus gentiment que mon propriétaire. Je dois reconnaître que cela ressemblait vraiment à de la provocation et I. ne manqua pas de répliquer. Elle s'y est tellement bien attelée que j'aurais aisément pu dire le contraire à ce moment là. Je pense que ce qui a retenu mes larmes ce jour là, c'est d'avoir pu me blottir contre R alors que ma future Maîtresse s'acharnait contre moi. Je pense quand même qu'il n'a pas vraiment apprécié que je m'agrippe au point de lui faire mal, ce qu'il n'a pas manqué de m'interdire.

Lorsque R. se décida à jouir, ils eurent la mauvaise idée ( et oui parfois, cela arrive) de me laisser le sucer jusqu'à recevoir son précieux jus dans la bouche. J'étais donc à genoux devant lui, la bouche ouverte et la langue pendue, attendant toute contente cette honneur qu'allait me faire mon futur Maître. J'ai beaucoup aimé le sentir éjaculer ainsi mais douée comme je suis, j'ai gardé son jus jusqu'à ce qu'il me remette son sexe dans la bouche... là, j'ai voulu avaler mais ce fut un vrai petit drame. J'ai vraiment détesté le goût si bien qu'un commentaire désobligeant m'a même échappé. Je m'en voulais déjà avant même d'avoir finit ma phrase et dans le feu de l'action, j'ai enlevé mon bandeau. Je découvrais enfin ma future Maîtresse qui me regardait. A sa place je me serais vraiment dit que c'était un beau gâchis. R. était carrément parti tant je l'avais énervé et déçu. C'est quand même vraiment dommage, d'autant plus que j'aurais aimé pouvoir regarder I. avec fierté et non avec honte comme c'était le cas. En plus de ma honte, j'étais complètement indécente, nue et le visage tout embrumé, face à ma propriétaire déjà vêtue.

Malgré cette fin lamentablement ruinée par mes soins, je garde un souvenir merveilleux de cette journée. C'est curieux mais malgré le fait que mes propriétaires ne me ménagent pas vraiment, je garde toujours une impression très douce de mes moments passés avec eux. De toute façon je n'ai pas choisi de devenir leur soumise sans raison et je pense que mes propriétaires seront des Maîtres vraiment parfaits et idéals pour moi. Ils savent déjà très bien comment me prendre alors que nous nous ne sommes vu que très peu, grâce à eux, chacune de nos rencontres sont belles et marquantes et je trouve qu'ils se complètent fort bien pour me dresser en belle petite chienne soumise.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
Voir les 0 commentaires
Dimanche 20 août 7 20 /08 /Août 23:57

- Fautes d'orthographes: trois coups de cravache par faute d'orthographe,

- Manque de respect simple: une demi-journée sans caresses pour mon premier manquement, une journée complète supplémentaire pour le second, encore une journée et demi de plus pour le troisième.

- Délais non respectés: cinq fessées par journée de retard sur une date butoir que j'ai moi-même fixée, vingt coups de martinet  pour une date déterminée par mes propriétaires et enfin cinq coups de cravache par demi-journée de retard à compter du moment où I. et R. me donneront un ordre sans précision concernant le délais.

- Aménagement de mes punitions: lorsque le cumul de mes punitions sera important, mes propriétaires m'administreront les cent cinquante coups de cravache initialement prévus mais diviseront les suivants par trois en utilisant alors une ceinture.

E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes punitions
Voir les 0 commentaires
Vendredi 18 août 5 18 /08 /Août 22:51

Depuis de longues semaines, je me rendais quotidiennement sur un site échangiste et y passais des heures entières. J'y ai fait quelques rencontres d'une extrême médiocrité mais un beau jour de février, c'est à I. que j'ai eu affaire.

Naturellement, I. doutait de ma réalité et a donc demandé à R. de me téléphoner. Sa voix était vraiment sexy et rassurante, ce qui n'a pas manqué de me donner envie de les découvrir un peu plus.

Cependant, ils m'ont rapidement proposée une vraie rencontre que je refusais d'accepter. Je ne les avais jamais vu en photographie, ce qui me posait problème à l'époque, d'autant plus qu'ils souhaitaient me faire venir chez eux les yeux bandés.

Je ne me rendais pas vraiment compte de l'excitation que cela pouvait générer mais j'avais deux craintes qui subsistaient... la première était quand même les risques que je prenais à me rendre au rendez-vous, surtout que j'avais peur d'être plus vulnérable avec les yeux bandés. La seconde était la peur qu'ils me déplaisent physiquement... je reconnais que je trouvais louche le fait qu'ils ne voulaient pas que je puisse les voir avant un second rendez-vous.

Finalement, cette rencontre a donc été retardée et ne s'est d'abord faite qu'avec R. puisqu'I. n'était plus disponible à ce moment là.

De février à avril et encore quelques temps après, mes propriétaires et plus particulièrement R. se sont attardés à me faire découvrir leur goût pour le sadomasochisme.

En effet, j'étais très insistante quant à mon désir de les voir avant de les rencontrer, ce qui les a donc amené à me conduire sur un autre site de rencontre, cette fois bdsm. Avec le recul, je me demande si ce n'était pas plus un moyen "détourné" de me présenter cette facette de leurs désirs plutôt qu'une façon d'assouvir ma curiosité car je n'y avait en fait vu qu'I. vêtue et tournée de manière à ce que son visage ne soit pas visible. Par ailleurs, ils avaient des photos d'eux sur un site classique qu'ils se sont bien gardés de me montrer au début.

Je ne leur fait bien sûre aucun reproche à ce sujet mais j'essaie simplement de raconter le plus fidèlement possible les avant-propos de notre aventure. Toujours est-il que j'ai découvert avec beaucoup de curiosité leur fiche mais mon petit tour d'horizon sur le reste du site m'avait presque fait peur et dégoûtée. J'étais restée particulièrement bloquée sur les pinces à seins et les spéculums que j'avaient remarqué dans la boutique. Encore aujourd'hui, cela ne m'attire pas du tout mais je sais bien que mes propriétaires ne tarderont plus bien longtemps à me faire découvrir le supplice des pinces.

Pendant quelques temps, je me suis posée de nombreuses questions et leur ai imposée de multiples barrières, leur jurant que jamais je n'aurai la moindre pratique SM et que devenir leur soumise était absolument hors de question... comme quoi j'étais bien loin de la vérité même si je croyais dur comme fer à ce que je leur disais.

Nous nous sommes donc retrouvés dans une période où nous avons beaucoup discuté mais seule la soumission sexuelle me tentait. Et encore, je gardais beaucoup de réserves. Peu à peu, j'ai commencé à me caresser en m'imaginant les fesses flagellées au martinet. Je trouvais l'image très belle et cela m'excitait énormément. Cependant, j'avais du mal à accepter l'idée de vivre de tels fantasmes, probablement pour la simple raison que ce n'est pas considéré comme quelque chose de "normal" dans notre société et il n'est pas forcément simple de se détacher de ces idées préconçues.

Le cheminement de mon esprit a donc été le suivant: En février, j'avais peur du monde SM, ensuite j'ai découvert la théorie si je puis dire mais je me refusais à accepter mes désirs profonds.  En juin, j'espérais que mes propriétaires deviennent mes Maîtres avec tous les jeux assortis mais ce n'est qu'en juillet qu'ils m'ont enfin fait l'honneur de me marquer à la cravache.

Parallèlement à l'aspect sexuel qui est évidemment majeur dans notre relation, ceux que je considère aujourd'hui comme mes Maîtres sont bien plus pour moi que de simples amants avec lesquelles je joue un rôle de chienne et d'esclave.

Alors que j'étais très malheureuse voire même en pleine dépression lorsque nous nous sommes connus , I. et R. ont été les seules personnes capables de m'aider réellement bien qu'il a fallut pour ça un certain temps, le même que celui qui m'a été nécessaire pour désirer devenir leur soumise.

Jusqu'à présent, nous ne sommes que très peu vu mais le temps qu'ils m'ont consacré est immense, tant du point de vu de nos jeux que de mes problèmes personnels car mes propriétaires ne m'ont jamais abandonnée lorsque je leur parlais de choses tout sauf plaisantes. Au contraire, malgré leur domination et leur sévérité omniprésente dans notre relation, ils sont un vrai soutien lorsque que quelque chose ne va pas pour moi.

Je pense très sincèrement que mes propriétaires sont des personnes exceptionnelles dont l'inventaire des qualité serait bien long. J'ai eu une chance folle de les rencontrer et qu'ils s'occupent ainsi de moi surtout que dans le cas contraire, je ne sais pas ce qui aurait pu m'arriver tant le contrôle de ma vie m'échappait.

Chaque jour je me dis avec le sourire que je suis heureuse et chanceuse d'avoir de si bons Maîtres. Je ne devrais normalement attendre la signature de mon contrat pour parler en ces termes dans mon journal mais dans mon esprit, I. et R. sont déjà mes Maîtres et il me coûte d'écrire "futurs" devant ce superbe mot qui leur correspond si bien.

Le lien qui m'unit à mes propriétaires aujourd'hui est bien réel mais je n'arrive pas bien à déterminer en quoi il consiste mais ce dont je suis sûre, c'est que je tiens énormément à eux et que les perdre serait pour moi extrêmement douloureux, bien plus que tous les coups de cravaches qu'ils me donneront j'espère encore longtemps.

E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
Voir les 0 commentaires
Mercredi 16 août 3 16 /08 /Août 23:59

Afin de montrer à mes propriétaires comme je tiens à mon journal et, par la même occasion, à notre aventure, je ferai en sorte d'y publier au minimum un article par semaine.

Lorsque I. et R. seront en voyage, je doublerai cette fréquence. Elle deviendra donc temporairement bihebdomadaire.

Par contre, lorsque je n'aurai pas accès à internet, mes futurs Maîtres ne me tiendront pas rigueur du manque d'évolution de mon journal.

E.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes règles de conduites
Voir les 0 commentaires
Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 22:50

J'avais rencontré R. en avril mais de nombreux événements ont repoussé ma rencontre avec I. au mois de juillet. Durant tout ce temps, ils avaient tout deux pris beaucoup d'importance pour moi et cette rencontre était "capitale" puisqu'elle devait déterminer ce que ma propriétaire et moi penserions l'une de l'autre.

Je suis donc arrivée devant la porte de mes futurs Maîtres. R. m'ouvrit la porte et m'emmena dans son bureau. J'étais très inquiète à l'idée de découvrir Iris, probablement parce que je ne savais pas vraiment quelle conduite je devais tenir avec une femme. Toujours est-il que lorsque je mis mon sac sur une chaise en me penchant légèrement, mon propriétaire en profita pour me relever ma jupe, ce qui l'espace d'un instant me surpris car malgré le fait que je souhaite leur être totalement offerte, je ne peux pas toujours prévoir mes réactions soudaines. Pour me rattraper, je pris soin de me cambrer contre la chaise pour lui faire comprendre que je lui étais belle et bien offerte. R. se frotta alors derrière moi et me murmura qu'il me défoncerait par tous les trous, choses qui ne s'était encore jamais produite. A ces mots, je commençais à être très excitée... il me mit alors un bandeau sur les yeux et m'emmena auprès de ma future Maîtresse en ajoutant quelque chose comme " chérie, je t'apporte un cadeau tremblant"... Je ne me rappelle pas vraiment de sa réponse mais je conserve parfaitement en mémoire la douceur et la sensualité de sa voix.

Elle m'attendait sur le lit et je l'ai donc rejoint d'un pas mal assuré à cause de ma cécité temporaire. R. nous laissa toutes les deux seules dans la chambre...  nous avons rapidement commencé à nous caresser mais j'avais très peur de ne pas réussir à faire plaisir à I., ou pire, de lui faire mal. J'en profitais donc pour la découvrir très sagement mais fort heureusement, ma propriétaire était bien plus "entreprenante" que moi. Elle s'approcha alors de mon sexe avec une délicatesse très particulière qui me comblait de plaisir... Au bout d'un tout petit moment, I. décida d'enlever le bandeau qu'elle avait décidé de porter pour me rencontrer. A mon grand soulagement, elle avait l'air plutôt contente de m'avoir entre ses mains et finit d'ailleurs par m'allonger sur le lit afin de me fouiller plus facilement le sexe... J'étais alors offerte à I. et très heureuse du plaisir qu'elle me donnait. C'était vraiment délicieux mais un impondérable mit subitement fin à mon plaisir et me bouleversa complètement...

Moi qui attendait depuis si longtemps cette délicieuse rencontre, il a fallut qu'il m'arrive un petit problème certainement lié au stresse qu'avait généré en moi cette rencontre mais aussi l'attente des résultats du baccalauréat qui étaient prévus pour le lendemain. Toujours est-il que j'étais totalement effondrée et totalement perdue face à cette situation que je n'avais même pas envisagée. Mais j'ai la chance d'avoir des propriétaires adorables et exceptionnels qui ont parfaitement su me réconforter lors de ce moment difficile pour moi.

Alors qu'ils avaient discuté ensemble quelques minutes, mes propriétaires sont revenus dans la chambre... R. nous invita I. et moi à venir discuter dans le lit. J'étais donc entre mes futurs Maîtres qui n'en avaient plus que pour moi afin de me consoler. Ils m'offrirent alors le choix de partir ou bien des rester avec eux pour jouer à quelque chose de différent de ce qui était initialement prévu. J'acceptai volontiers de rester et immédiatement, nous commencions  nous caresser tous les trois. Je dois bien reconnaître que j'aimais beaucoup ma place, entre mes Maîtres qui me caressaient tout en s'embrassant.... Je n'ai pas vu cette scène puisque j'avais encore les yeux bandés mais j'en garde un souvenir magnifique.

Ce jour là, j'ai découvert des plaisirs complètement méconnus... j'ai bien sûre eu tout le loisir de sucer le sexe de R. mais aussi celui de découvrir l'intimité de ma propriétaire. J'admets que mes débuts sont très laborieux dans ce domaine mais j'espère un jour pouvoir lire sur le visage de ma future Maîtresse le même plaisir que celui que R. lui offre. Ce jour là, I. a été seule a jouir du sexe de R. mais cela m'a procuré beaucoup de plaisir... il était vraiment délicieux de sentir R. faire l'amour à ma future Maîtresse... je me rappelle d'ailleurs parfaitement le moment où j'ai touché le creux des reins I. alors qu'elle était complètement cambrée... R. m'avait posée la main sur son dos afin de me montrer comme ma propriétaire se met bien et donc pour me montrer l'exemple.

Je garde un très beau souvenir de cette rencontre durant laquelle j'ai eu la chance de profiter de ce superbe spectacle qu'ils n'ont pas manqué de rendre riche et très varié. Malgré mon apparente figure de spectatrice, je me suis au contraire sentie à merveille entre mes propriétaires que je n'ai cessé de sucer et de lécher au point d'être courbaturée et endolorie les quelques jours qui ont suivis cette journée.

Cette rencontre a pour moi été magnifique et très riche en émotion... j'ai quand même le privilège de vivre une sorte de parcours initiatique avec mes propriétaires qui eux, malgré leur jeunesse, sont bien plus expérimentés que moi... ce qui s'est révélé encore plus vrai lors des rencontres suivantes.

Toutes les interrogations que j'avais au sujet de ma propriétaire se sont du même coup envolées... j'avais pris beaucoup de plaisir à me livrer à I. et à découvrir sa douceur, sa sensualité et ses délicieuses formes que j'ai terriblement aimé toucher, comme par exemple sa voluptueuse poitrine que j'ai d'ailleurs hâte de pouvoir à nouveau caresser et embrasser.

Parmi toutes les choses que mes propriétaires me font vivre, je dois bien admettre que la simplicité d'une rencontre douce et sensuelle dans l'intimité de leur chez eux a été pour moi une très belle expérience que j'espère revivre de nombreuses fois avec eux.

Leur chienne

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés