Présentation

Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 21:24

Même si je n'ai malheureusement que trop peu connu ces moments magiques au cours desquels Ils m'ont dominée, il faut dire que cela me manque énormément. En plus, je ne Leur ai même pas laissé le temps de me faire découvrir ce qu'Ils connaissaient et appréciaient déjà et encore moins celui de me laisser la chance de Leur inspirer de nouveaux jeux.

Néanmoins, même si je meurs d'envie d'être traitée en esclave, j'ai aussi conscience que mes limites n'ont rien d'exceptionnelles, au point que je serais probablement incapable de subir la seule punition liée aux fautes dans mon journal. En plus ma Propriétaire étant bien meilleure que moi en orthographe ( comme dans tous le reste d'ailleurs), je suis sûre qu'Elle pourrait en trouver à profusion.

Cela dit, je ne m'attends pas à ce qu'I. et R. me punissent un jour pour l'intégralité des fautes que j'aurais commises durant tout la période  où Ils n'auront plus voulu de moi. Bien entendu, je ne cherche absolument pas à assurer mes arrières (c'est la cas de le dire) en écrivant que j'imagine mal une telle punition se produire si mes Propriétaires consentaient à me revoir.

Peut-être ai-je tort, de toutes manières, dans ma conception de ce que je suis pour Eux, I. et R. n'ont aucunement besoin d'une bonne raison pour me cravacher s'Ils le désirent... quand même, je ne tiens pas à ce que Leurs coups riment nécessairement avec punition, au contraire.

Pour reprendre les propos de ma Propriétaire, Elle m'avaient justement assurée que je goûterais à Ses coups ( puis-je en redemander?), mais qu'Elles préféraient me prodiguer ceux synonymes de récompense plutôt que de correction.

Il y a aussi quelques petits détails auxquels je pense souvent, mais je La revois en particulier m'ordonner de baisser les yeux... et puis il y a Ses fameuses chaussures que je regrette encore de ne pas avoir léchées.

Mes souvenirs de ces trois jours sont réellement merveilleux, hormis bien sûr les petites catastrophes dont j'ai comme toujours été à l'origine. Enfin avec le recul, même si je n'aurais jamais dû réagir ainsi, mon commentaire lorsque mon Propriétaire a joui dans ma bouche me fait vraiment sourire... pourtant je ne devrais pas car si au moins j'avais été une "belle salope", peut-être auraient-Ils davantage envie de me donner de Leurs nouvelles.

Néanmoins, afin de progresser dans ce domaine pour être fin prête le jour tant espéré où I. et R. reviendraient vers moi, j'ai déjà commencé à me rendre régulièrement dans des boites à partouzes pour m'entraîner... très efficace! Comme quoi, je fais vraiment des efforts pour être digne de Les retrouver.

Bien évidemment, je plaisante, même si je dois bien admettre que mon humour est lui aussi à revoir. En plus, au delà du fait que les autres me répugnent, je sais qu'essayer des Les rendre jaloux serait vain et stupide, surtout que je n'obtiendrais que davantage de mépris et de dégoût de Leur part.

En fait, je me rends bien compte que ce que je Leur demande est difficile. La confiance étant primordiale, celle-ci serait relativement longue à retrouver, d'autant plus qu'I. et R. ne peuvent pas avoir la certitude que je puisse réellement la Leur apporter. En plus sachant que mes vices ne se bornent pas qu'aux divers plaisirs que je désire Leur offrir, il me semble tout à fait légitime qu'Ils puissent redouter mon côté minable que j'ai parfaitement su Leur faire découvrir. Par moment je me demande même si je ne Leur ai pas montré que le pire de moi.

Du reste, j'ai profondément l'impression d'avoir été un poid pour Eux tant j'étais intenable. La majorité du temps qu'Ils m'ont consacrée, R. en particulier, n'a clairement pas été source de plaisir pour Eux mais bien plus de disputes et de tensions. Si une chose me semble désormais absolument évidente, c'est que mes Propriétaires pourraient me consacrer tout le temps qu'Ils souhaiteraient mais pour Leur plaisir avant tout. En soi, je ne suis pas fondamentalement un problème, je peux aussi être un objet multifonction.

Quand j'y pense, j'ai bien changé depuis tous ces mois, même pour des choses bêtes comme employer des mots légèrement grossiers. Autant je pouvais Leur parler comme une vraie poissonnière (avec tout le respect que j'ai pour ce métier), autant les mots obscènes n'existent plus vraiment dans mes propos. Pourtant j'ai l'impression qu'Ils empirent dans la partie la plus dépravée de mon esprit.

En tout cas, je suis certes démoralisée par Votre absence et Votre silence mais je suis bien trop déterminée pour ne serait-ce qu'envisager de renoncer.

Votre fidèle e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Dimanche 18 février 7 18 /02 /Fév 00:44

Ce désir ne me quitte plus, Vous appartenir, voilà ce qui me pousse à me remuer chaque jour qui passe.

Je sais que je suis assez obsessionnelle, c'est d'ailleurs sans doute ce qui peut Vous inquiéter car Vous pourriez aisément imaginer quel drame je ferais naître si ce trait de mon caractère se portait sur quelqu'un d'autre. Pourtant Vous êtes réellement à l'abris d'un retournement de mon état d'esprit, surtout qu'autrement cela aurait déjà eu lieu.

Qui plus est, si un jour je devais malheureusement me trouver dans un moment de faiblesse, ce qui est tout sauf le cas actuellement, et bien je n'oublierais pas tous ces mois passés à attendre les Êtres exceptionnels que Vous êtes. Mais de toutes manières, même si Vous n'en profitez aucunement, j'estime que je Vous appartiens déjà, au même titre que ma liberté.

Alors certes, ce ne sont que mes mots, que j'imagine sans grande valeur à Vos yeux, mais je crois tout de même très sincèrement à tout ce que je Vous ai déjà écrit. Il ne s'agit pas là d'un caprice très prononcé où je me permets tout et n'importe quoi mais bien d'une véritable volonté de parvenir à réaliser mon rêve d'être Votre soumise.

Il y a plusieurs mois, Vous m'aviez justement demandée de réfléchir encore sérieusement à ce que je désirais, en précisant que si Vous acceptiez, Vous seriez dès lors bien plus exigeants et sévères avec moi. Mes conclusions restent inchangées... c'est Vous qu'il me faut, et cela a toujours été ainsi. C'est d'ailleurs absolument évident qu'aucune autre relation ne parviendrait à me combler autant que celle-ci.

De plus, même si Vous pourriez craindre également qu'un certain manque de tendresse puisse me faire flancher, et bien détrompez-Vous car même sans me le montrer, Vous pourriez aisément m'en offrir en me permettant de me blottir à Vos pieds...

Il serait aussi possible que Vous ayez quelques inquiétude concernant mon entrée à l'université dans la mesure où je me trouverai avec des personnes partageant le même objectif que moi et avec lesquelles je pourrais en cela avoir quelques atomes crochus. Mais même si j'essaie d'imaginer Vos craintes, qui me semblent légitimes étant donné la manière dont je me suis cassé le nez à la première occasion, et bien moi je ne vois que deux options.

La plus mauvaise serait qu'effectivement je me trouve face à des tentations, bien que même si ce cas devait se présenter, je ne pourrais pas oublier la douleur de Votre absence et ma raison me rappellerait que rien n'a de plus de valeur pour moi que Vous et notre relation. Je suis de toutes façons persuadée que n'importe quelle autre histoire serait un échec pathétique et sans intérêt comparé à Vous.

Mais en vérité, j'ai bien du mal à concevoir que je puisse ne serait-ce qu'envisager quelque chose à la place ou en plus de Vous. Même si Vous n'êtes pas physiquement présents, Vous occupez déjà toute ma tête et je me sens totalement indisponible. En plus je Vous adore et je tiens bien trop à Vous pour m'imaginer avec d'autres personnes. D'ailleurs mes fantasmes en témoignent puisque tous Vous sont destinés.

Vraiment, cela ne fait aucun doute à mes yeux, je suis maladroite, douillette et plutôt lente mais malgré tout rien ne compte davantage pour moi que de Vous appartenir. J'espère qu'un beau jour, j'y arriverai, en Vous retrouvant, puis en luttant pour progresser car je crois que cela pourrait réellement être dur parfois voire même souvent, et ensuite, je m'efforcerais d'approcher la perfection puisque celle-ci est me semble-t-il inaccessible.

Votre e., toujours aussi fidèle et admirative de ses Propriétaire adorés.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 20:28

Comme depuis le début de mon calvaire, j'attends mes Propriétaires avec un désir toujours aussi profond de Les retrouver. Néanmoins mon manque d'Eux est plutôt croissant avec les mois qui passent et j'ai par moment bien du mal à ne pas aller chez Eux tant je n'en peux plus. En réalité, si je ne craignais pas d'interférer avec Leur vie privée, je l'aurais sûrement déjà fait.

Pourtant c'est véritablement insupportable de penser sans cesse à Eux, de ne rien désirer davantage que de Les retrouver alors que c'est seule que je dois m'obliger tant bien que mal à ne pas Les déranger. En plus ce serait si simple. Je n'aurais qu'à me faire belle et à prier pour ne pas me retrouver nez à nez avec Leur famille... fastoche... je devrais essayer (sourire).

Sérieusement, j'ai beaucoup de mal à gérer mon désir de Les revoir, d'autant plus que j'étais tellement persuadée que je Les reverrais enfin pendant les vacances de Noël que je Leur avais acheté des chocolats, que je mangerais bien d'ailleurs depuis le temps qu'ils attendent que quelqu'un s'en charge.

Mais en plus, j'ai grossi et je doute qu'I. et R. puissent apprécier mes trois kilos de plus qui n'étaient franchement pas indispensables. Du coup je me suis réveillée un matin en me disant qu'il fallait que je cesse de rêver, que je ne serais jamais une bonne soumise si je ne suis pas capable de faire passer le plaisir de mes Propriétaires avant le mien. Cela peut sembler ridicule mais lorsque j'aimerais manger des gâteaux par exemple, c'est comme si je devais avouer que je suis bien aussi minable qu'Ils le pensent.

Toutefois je me connais pour être tordue et pour arranger mes pensées de la manière qui m'arrange, c'est-à-dire que je pourrais fort bien me dire sous le coup d'une pulsion "mais pourquoi te priver ainsi? c'est sûr qu'Ils n'en ont rien à faire et que trois gâteaux ne changent rien au fait que tu peux être à la hauteur". Je m'énerve lorsque je fais ça, car au final je me déculpabilise de ne pas m'être forcée.

C'est vrai que je me suis pris une claque en me disant que durant six mois (hormis quelques jours où j'ai fait des efforts dans ce domaine), je n'ai cessé de faire passer mon plaisir instantané avant le Leur. Le pire dans tout cela, c'est que notre histoire étant quand même largement basée sur le désir, j'ai en plus compromis mes chances d'être attirante à Leurs yeux.

Alors maintenant c'est évident que je n'ai qu'une hâte, c'est de Les retrouver mais j'ai peur de Leur déplaire et de Leur donner encore une preuve de ma nullité. Or puisque mes Propriétaires semblent encore retarder l'échéance de notre rencontre qui j'espère aura bien lieu un jour, je vais faire de mon mieux pour rattraper ce temps perdu qui aurait pu me servir à devenir moins désagréable à regarder.

Effectivement, la plupart des progrès que j'ai fait ne m'ont pas demandée beaucoup d'efforts car ils se sont finalement fait normalement. Mais pour la gourmande dans l'âme que je suis, faire les efforts nécessaires pour ressembler à quelque chose est très dur. Depuis mes huit ans j'ai voulu maigrir et jamais je n'ai réussi à aller au bout de mes efforts, pas même à dix-huit, lorsque je pompais l'air à I. et R. parce que je me trouvais trop grosse.

Tout cela peut certes sembler très futile et quelque part, cela le serait dans un autre contexte d'autant plus que je suis étiquetée "normale" par la société. Toutefois je veux Les retrouver et qu'Ils puissent se sentir fiers d'être mes Propriétaires bien que je pense qu'Ils préféreraient de loin cravacher de jolies petites fesses plutôt que les miennes.

Pour conclure sur ces frivolités qui me tracassent, j'aime mieux préciser tout de même que je suis une "grande fille" et que je préfère me débrouiller toute seule sur ce point plutôt que de compter comme je l'espérais il y a six mois sur le fait que mes Propriétaires m'obligent à me tenir à ce que je veux.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mon quotidien
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Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 21:45

A l'époque, je l'ai écrit prématurément et avant même de l'avoir signé je l'ai malheureusement transgressé à maintes reprises. Néanmoins même si je l'ai déjà massacré, ce que je regrette infiniment, à présent je le respecte probablement mieux que ce que Vous auriez pu espérer d'une petite pommée rencontrée sur un site libertin, il y a un an déjà... le temps passe vite même si notre relation se résume tristement à trois rendez-vous, bien que magiques, je dois bien l'admettre.

Pour revenir à mon contrat, je l'ai gardé, mais celui-ci ne me correspond plus vraiment par certains points tout en étant totalement en phase avec moi pour d'autres, ces derniers points étant ceux que j'avais écrit sans trop être sûre de moi par le passé. Mais pour ce qui est de Vous demander de "gendarmer" ma vie, ce n'est vraiment plus indispensable car je suis devenue suffisamment raisonnable pour que Vous puissiez avoir le loisir de faire usage de Votre temps avec moi autrement.

Toujours est-il que même si mon contrat n'a sans doute plus la moindre valeur à Vos yeux, moi je suis profondément triste du destin que je lui ai créé. Même si le plus important est que je respecte simplement ce qu'il y aurait sur mon contrat et non que celui-ci soit signé, je serais quand même très heureuse si un jour nous en concrétisions un, celui sur lequel je signerais officiellement que ma liberté est entre Vos mains et que seuls Vous puissiez me la rendre.

Néanmoins, je ne cesse d'être convaincue que c'est justement en étant Votre esclave que je toucherais au plus près ma liberté. Je me souviens comme je ne comprenais rien à cela lorsque Vous Vous fatiguiez à me l'expliquer mais au moins notre rencontre m'aura permis de multiplier par deux mes notes de philosophie à force de beaucoup de peine pour Vous.

Je resterai toujours à Vous...

Votre e.

Publié dans : Mes réflexions
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Dimanche 28 janvier 7 28 /01 /Jan 23:10

Cela fait déjà six mois que nous ne nous sommes pas revus... au moins Vous ne pourrez plus m'accuser d'être nymphomane. J'ai envie de Vous, uniquement de Vous, les autres me dégoûtent. Mais je suis profondément triste de voir le temps passer sans Vous voir revenir pour autant. Je commence à me demander quel intérêt j'ai sans Vous et à vrai dire je n'en trouve pas le moindre.

Certes ma vie serait palpitante si Vous étiez là, mais il n'en est rien. Ma vie est triste et j'en perds de plus en plus le goût. Je ne suis jamais complètement sereine, j'ai toujours cette crainte de ne jamais Vous retrouver et un manque de Vous qui me rend malade. Je voudrais me sentir bien mais je préfère encore me battre en souffrant plutôt que de me calmer avec des antidépresseurs.

Le plus terrible, c'est que même si je n'en peux plus, je n'ai pas le choix. Je suis devenue si dépendante de Vous, dépendante de mes fantômes dont les initiales sont gravées dans ma chaire. Ce que je vis n'est pas sain car je n'arrive pas à trouver un équilibre dans cette attente. Je n'ai plus envie de rien, si je pouvais je dormirais en permanence pour oublier. Malgré tout, je me remue et je continue mes efforts car Vous détesteriez me voir avec le comportement qui s'assortit normalement à l'ampleur d'une telle douleur.

Par moment je me demande si Vous avez conscience de ce que je vis, que pour moi cette période de ma vie n'a rien d'un jeu, que je ne Vous attends pas comme j'attendrais un beau cadeau. Je me réveille et je m'endors chaque jour avec ma peine d'être ainsi privée de Vous et pourtant malgré l'extrême sadisme dont Vous faites preuve sans le vouloir, c'est uniquement à moi que j'en veux. Je regrette tellement d'avoir provoqué une telle situation et de Vous avoir rendu presque indifférents à mon existence.

Mais je ne peux que me forcer à l'optimisme et Vous attendre encore même si cela m'épuise moralement. Je me sens dans une impasse et cette absence de nouvelle de Vous m'inquiète. Vous pourriez très bien avoir changé d'avis puisque de toutes façons Vous ne me devez rien.

Je suis désolée de Vous faire part ici de mes plaintes mais je ne suis pas capable de Vous parler d'autre chose vu comme je me suis sentie triste aujourd'hui. Comme j'ai été un peu seule, j'ai pu extérioriser ma peine au point de me faire pitié. J'ai hâte que ce cauchemar cesse mais je redoute le fait que Vous puissiez m'abandonner. Soit cela me ferait un déclic pour enfin me sentir mieux, soit je m'accrocherais encore et ce serait une vraie catastrophe pour moi. Après tout si Vous ne voulez pas de moi maintenant, ce ne sera sans doute pas dans dix ans que Vous changerez d'avis alors qu'en plus Vos vies auront beaucoup évolué.

Enfin en résumé, rien de nouveau, Vous me manquez simplement bien trop. Vous me manquiez déjà avant que je Vous trahisse, alors imaginez maintenant que cela fait six mois que nous nous ne sommes pas vus, avec un état d'esprit très différent pour ne rien arranger.

Pourtant d'une manière objective, mon quotidien et mon avenir se sont améliorés mais avant j'étais à l'ouest et ma nonchalance me donnait l'illusion de vivre ma vie comme je l'entendais. Maintenant je fais les efforts que je décide de faire, mais tout de même, ma seule vie de jeune fille sage est d'une fadeur déconcertante.

Je ne cherche pas à Vous mettre une pression monumentale, rassurez-Vous. Evidemment je ne vais pas bien sans les piliers de ma vie mais je résisterai puisque c'est pour moi la seule façon possible de Vous retrouver. En tout cas Vous n'avez pas à craindre de risquer de me décevoir, je me contenterais amplement de ce que Vous pourriez m'apporter, quand bien même cela serait peu ( surtout que de Votre part, un rien peut me combler).

Votre e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
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Dimanche 21 janvier 7 21 /01 /Jan 23:25

... telles sont les deux perspectives qui "s'offrent à moi".

Bien entendu, difficulté et bonheur ne sont pas à l'ordre du jour mais je peux encore choisir seule de renoncer, d'autant plus que je considère que je ne pourrais plus faire marche arrière si mes Propriétaires décidaient de me dresser.

Toujours est-il que j'ai bien conscience du fait que Les retrouver n'impliquerait pas un possible relachement de ma part, au contraire. Effectivement, je serais bien plus heureuse car je pourrais enfin ne plus vivre ma dépendance à Eux dans la douleur, mais je pense que le plaisir que j'aurais en tant que soumise serait nécessairement accompagné d'épreuves et efforts.

D'ailleurs mon sentiment d'appartenance est très fort, peut-être même trop compte tenu de nos rencontres qui furent exceptionnelles tant par leur qualité que pas leur quantité. Néanmoins, mes désirs sont profonds et sincères et je doute qu'I. et R. puissent un jour trouver une autre fille qui plus que moi désirera Leur appartenir autant à L'un qu'à L'autre tout en ayant des desseins exclusivement voués à nous combler tous les trois et en privilégiant d'abord les intérêts de Leur couple avant les miens. Je reste toutefois prudente avec de telles propos car en toute honnêteté je pense que mes Propriétaires sont largement assez exceptionnels pour ne pas être désirés que de moi, je pense juste que je suis bien trop attachée à Eux pour qu'il soit possible à quelqu'un d'autre que moi de tenir plus encore à Eux deux. 

Ceci-dit, Leur couple est aussi très précieux pour moi car c'est le pillier de notre relation qui bien sûr est presque vitale pour moi. Qui plus est, j'ai autant besoin et envie d'I. que de R. et je considère qu'Eux deux réunis font l'alliance parfaite des Maîtres idéals. Bien sûr, mes Propriétaires sont des êtres fantastiques même séparément, mais pour rien au monde je ne supporterais d'être privée de L'un d'Eux. Je le répète justement bien souvent, mais je ne cesse de penser à Eux et d'arriver toujours aux mêmes constats, à savoir qu'Ils me manquent affreusement mais que ma volonté de Leur appartenir est trop ancrée en moi pour qu'elle puisse se dissiper si mon état de souffrance se calmait.

De plus, même si je me rends bien compte qu'il serait plus difficile pour moi de vivre mes désirs que d'y renoncer, je préfère de loin oublier la facilité car c'est à mon avis la voie directe vers l'échec et mon choix est évidemment de me remuer pour trouver le bonheur d'être à Eux et surtout de le garder du mieux que je pourrais, c'est-à-dire en faisant des efforts et en ne laissant rien ni personne venir me troubler.

De toutes façons, personne n'est capable de me combler autant qu'Eux et quand bien même je devrais un jour avoir une lubie stupide ( ce qui est à des années lumières de la réalité actuelle), je me montrerais raisonnable car je sais parfaitement qu'ailleurs qu'avec Eux je serais très rapidement déçue et parce que notre relation a bien trop de valeur et d'importance à mes yeux pour que n'importe quelle autre puisse lui faire concurrence et de ce point de vue là, j'ai même du mal à concevoir que je puisse ressentir la moindre tentation.

En plus avec Eux j'ai déjà tout ce qu'il me faut, une amante fantastique et adorable ainsi que "le meilleur coup de Paris" ( et encore, je restreins, car j'étendrais volontiers cela à la Terre), sans compter toutes Leurs autres qualités, nombreuses selon moi, même si je regrette amèrement de ne pas les connaitre encore davantage.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
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Dimanche 14 janvier 7 14 /01 /Jan 13:19

Cette petite histoire se déroule au paradis, c'est-à-dire chez mes Propriétaires, et a lieu dans un temps merveilleux où tout va bien entre nous.

Il y a déjà un long moment que ce petit objet cylindrique se love dans mon intimité. Je me sens tellement bien ainsi, avec le délicieux sexe de R. dans la bouche et ma belle I. qui s'amuse à me faire brûler de désir en remuant l'accessoire entre mes cuisses, tout en m'ordonnant de mieux sucer mon Propriétaire afin de rendre Sa queue plus grosse et plus dure.

Je suis ainsi terriblement excitée, surtout que ma Propriétaire ne manque pas de me rejoindre par moment pour m'aider à effectuer ma tâche, que j'accomplis pourtant plutôt bien. Aujourd'hui, seule I. se déchaîne, faisant de moi Son objet tandis que mon Propriétaire s'abandonne au plaisir de laisser Son amour décider de la manière dont Elle désire que je Les serve.

Ainsi ma Propriétaire est irrésistible, mais curieusement plus attachée que d'habitude à ce que je sois irréprochable avec mon Propriétaire... pourtant Sa queue me semble déjà parfaite. Mais qu'à cela ne tienne, j'adore Le sucer, alors autant en profiter.

Je suis alors allongée sur le lit, la tête renversée en arrière avec R. s'en donnant à coeur joie. Mais alors que je Leur suis offerte, ma Propriétaire suggère à R. de venir à Ses côtés, devant le spectacle de mon sexe humide de plaisir et de désir pour Eux.

L'un d'Eux me retire dorénavant le petit objet enfouit entre mes cuisses, tout en m'interdisant formellement de Les regarder. Je sens alors le sexe de R. caresser le mien (mais en réalité je sais que c'est I. qui s'occupe de tout), en alternant une petite promenade innocente, quelques petits titillements et de rares pénétrations superficielles me donnant atrocement envie que mon Propriétaire me prenne enfin.

I. se glisse à présent sur moi, à quatre pattes devant R. qui commence alors à faire quelques lents et profonds va et vient en moi tandis que ma Propriétaire m'embrasse doucement. Quel bonheur de se faire prendre ainsi, avec la permission de lécher les seins de I. et Sa douceur accentuant encore le plaisir que je recevrai, ce que je croyais tout du moins.

Tout à coup, quelques instants après que mon émerveillement ait commencé, l'immense plaisir que me procurait mon Propriétaire s'est envolé... mais que se passe-t-il? Pitié, revenez vite!, me dis-je secrètement. J'entends alors R. prononcer ces mots: "Chérie, notre pute est tellement mouillée que je l'ai ouverte pour me lubrifier le sexe avant de te faire l'amour". Effectivement, je sens soudain ma propriétaire se cambrer et s'accrocher à moi pour me faire part de Son plaisir tout en ajoutant: " C'est bien petite chienne, elle est exactement comme je la désirais".

Si au moins, je Les sers bien, tant pis pour ma frustration personnelle. Eux semblent très heureux, alors autant que j'y contribue encore en profitant de ce moment pour embrasser, lécher et caresser I. toujours au dessus de moi.

Finalement, mes Propriétaires décidèrent d'être très gentils avec moi, en me récompensant... I. prend maintenant  place sur ma bouche et m'ordonne de la lécher jusqu'à ce que je finisse de tout avaler, ce qui me fait à la fois un peu peur et me donne terriblement envie.

Pour ponctuer cette bribe de fantasme, lorsque je me caresserai en y pensant, je ne manquerai pas de Les remercier, comme j'aime beaucoup le faire.

Je suis navrée que mon récit ne soit pas aussi merveilleux que dans mon esprit mais je ne suis pas suffisamment talentueuse pour réussir à en partager tout l'érotisme et je le regrette beaucoup.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes envies
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Dimanche 7 janvier 7 07 /01 /Jan 15:09

Devenir médecin ainsi que devenir la belle soumise de mes Propriétaires, I. et R., en étant à la fois Leur oeuvre et Leur fierté ferait de moi une femme comblée. Bien entendu, avoir le métier que je désire compte beaucoup, mais je sais aussi que cela ne sufirait pas à me rendre heureuse tandis qu'être entre Leurs mains m'offrirait déjà bien assez de bonheur pour que je ne puisse pas en désirer davantage.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Nos rencontres
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Dimanche 7 janvier 7 07 /01 /Jan 01:15

Plus le temps passe, plus je remets mes souvenirs en ordre et plus je culpabilise, en particulier vis-à-vis de ma belle I. La pauvre, j'ai été si maladroite avec Elle, l'accumulation des détails que je me remémore me rendent terriblement honteuse et je me demande comment ai-je bien pu être aussi indélicate envers cette créature qui me plaît tant et que j'aime très fort.

J'étais si mal à l'aise, si intimidée que mes comportements allaient presque à l'inverse de ce que je désirais. Même si parfois je n'ai pas épargné non plus mon Propriétaire, j'ai l'horrible impression d'avoir atteint avec I. des sommets d'effronterie et d'indélicatesse.

Ma maladresse était aussi bien évidente dans mes paroles et dans mes attitudes que dans mes gestes. Bien entendu, si je les retrouvais, je pourrais difficilement avoir plus d'assurance que lors de nos précédentes rencontres étant donné qu'une épée de Damoclès est au dessus de moi, mais tout de même je suis certaine que je serais bien plus respectueuse.

Je me rappelle même de notre toute dernière rencontre où j'avais répondu à R. en disant "Elle" pour parler d'I. en sa présence et même sur le coup j'étais déjà très gênée de cette tournure, d'autant plus qu'aucun d'Eux n'auraient pu soupçonner que j'avais dit cela car je me trouvais tiraillée entre mon désir de vouvoyer ma Propriétaire et ma peur que cela soit prématuré ou déplacé et comme je me refusais totalement à tutoyer I., tout comme R. d'ailleurs, j'ai opté pour la pire option qui s'offrait à moi.

Ils étaient si parfaits ce jour là... je me rappelle aussi d'un moment où je mourais d'envie de caresser ma Propriétaire et comme j'étais affreusement gênée je Lui ai discrètement frôlée la jambe droite mais lorsqu'Elle m'a regardée, j'ai immédiatement cessé... je ne savais vraiment plus où me mettre.

Je ne me rendais pas compte à l'époque du nombre de fois où j'ai pu laisser croire à ma Propriétaire qu'Elle n'était pas celle que j'espérais, ou pire que j'avais été déçue. Pourtant c'était diamétralement l'inverse, j'avais l'impression de n'être rien tant I. m'impressionnait.

Effectivement même si j'ai des milliers de choses à découvrir de mon Propriétaire, avec I. il n'y avait pas que cela car c'était bien évidemment Elle que je considérais comme mon modèle. Pour tous les malchanceux qui n'ont pas eu l'honneur de voir ma belle Propriétaire ce jour là, moi je me souviens parfaitement d'une multitude de détails bien ancrés dans ma petite tête.

Mais au cas où je devrais oublier tout cela un jour, ce dont je ne crois pas une seconde, en voilà quelques uns... I. portait un haut à manche longue, rayé façon "prisonnière" avec écrit bebe dessus. Je me souviens que je suis restée scotchée devant cette marque que je ne connaissais pas car c'était en total paradoxe avec la I. que je j'avais connue lors de nos deux précédentes rencontres.

Du reste, je L'avais surtout regardée lorsque je marchais derrière Elle pour rejoindre la voiture. Et oui, on me perd facilement lorsque je porte des chaussures à talons. Toujours est-il qu'Elle avait vraiment de quoi m'impressionner avec Ses longs cheveux bruns, et sa jupe noire qui lui arrivait au dessus des genoux, laissant deviner de longues jambes toutes douces. Bien sûr, je garde aussi un souvenir marquant de Ses chaussures car avec le recul je trouve regrettable de ne pas avoir pris l'initiative de les lécher alors qu'elles se trouvaient juste sous mon nez. Mais en dehors de ces petits détails, I. est aussi très sensuelle et pleine de charme.

Je crois que si tout me semble plus simple avec R., c'est tout simplement parce que c'est un homme, merveilleux ce dit en passant. Lorsque qu'Ils m'honoraient de Leurs coups, c'étaient bien sûr pour nos plaisirs à tous les trois que j'essayais d'être la plus digne possible mais j'avais aussi très peur de décevoir I. plus particulièrement. Comme j'avais déjà accomplis nombre de catastrophes avec Elle, je ne voyais plus que cette issue pour Lui plaire, et à dire vrai je crois bien que c'est l'un des uniques moments dont je n'ai pas brisé la magie par mes stupides paroles ou mes gestes désordonnés.

En tout cas s'il y a une chose dont je n'ai plus à douter, c'est qu'à côté d'Eux, je suis moins que rien. Pourtant même si mon orgueil s'est grandement dissipé vis-à-vis d'Eux, j'ai comme l'impression qu'il s'est transvasé vers mon orgueil face au quotidien car je ne me laisse plus autant malmenée par les autres que par le passé. Je tiens à ce que le droit de me faire souffrir Leur soit réservé, en même temps il n'y a qu'Eux qui puissent me rendre heureuse ainsi.

A travers mes souvenirs, je tenais à Vous présenter mes plus sincères excuses car je regrette d'avoir été si minable avec la merveilleuse femme que Vous êtes.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mes réflexions
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Jeudi 4 janvier 4 04 /01 /Jan 02:12

Etant donné que je ne cesse de supplier mes Propriétaires de me garder, je ne peux décemment pas Leur présenter une image complètement indigne de moi lors de notre prochaine rencontre. Ne sachant pas quelle sera la nature de ce rendez-vous, j'ai envisagé deux petits entraînements qui devraient normalement me permettre d'être à la hauteur d'une soumise privée de ses Maîtres mais qui a quand même fait des efforts en Leur absence.

Tout d'abord, ma priorité est de me tenir bien droite, sans me recroqueviller, plus particulièrement lorsque je suis assise et cela même si je fais tout autre chose qu'une activité liée à Eux. Je pense que cela pourrait m'être fort utile au cas où I. et R. souhaiteraient me parler, ce qui est bien sûr le plus probable.

En outre, je crois aussi qu'il serait nécessaire que mes reins se cambrent plus docilement puisque cette posture est quand même très appréciable. Cependant, rien ne peut remplacer Leurs mains pour me tirer les cheveux ou m'appuyer sur le dos pour parvenir à un résultat agréable (enfin tout du moins à ma connaissance, mais je sais aussi qu'I. et R. sont bien loin d'être dépourvus d'imagination).

Voilà donc mes nouveaux objectifs, qui même s'ils ne sont certes pas extrêmement compliqués, me cassent déjà le dos. Mais ce n'est pas grave, au contraire, j'aime avoir mal pour Eux surtout puisque je serais heureuse si le résultat Leur faisait plaisir.

e.

Par Votre Soumise - Publié dans : Mon quotidien
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